1. 2003 - Mylène


    Datte: 19/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... pivoter en chien de fusil et entreprends de baisser son bas découvrant ainsi sous ma main ses bonnes fesses bien rebondies. Je les caresse, les écarte et glisse à nouveau mes doigts dans son con devenu plus qu’hospitalier. Je frotte ma queue tendue le long de sa fente, m’amusant à de buter sur son clito ; vraiment je me régale. Enfin je la pénètre profondément, le plus profondément possible et j’agrippe un de ses seins. Je me la joue tendre avant de la pilonner comme il se doit. Agrippé à sa hanche, je frappe puissamment son cul à chaque va et vient, relevant d’une main sa fesse pour me planter plus loin encore en elle. J’aimerais qu’elle vienne avant que je l’inonde. Un de mes doigts caresse sa rondelle mais l’effet est immédiat : fesses serrées, la guillotine. Après quelques instants, je jouis sur son cul et dans les draps. Je reste là à côté d’elle, lui caressant le ventre, aucun mot n’est échangé. Je sens qu’elle veut se faire câliner, oups. Après que le feu se soit éteint, des idées plus terre à terre vous viennent en tête. Je viens de sauter ma ...
    ... petite cousine, certes consentante mais ça n’est peut-être pas sans conséquence. Je ne pense jamais à tout ça quand une femme s’occupe de moi ; carpe diem. Le lendemain matin est des plus étranges. Nous aurions pu recommencer malgré la lumière aveuglante qui inonde la chambre mais j’opte pour le naturel comme si il ne s’était rien passé, comme si nous en avions rêvé. Je vois bien que Mylène est perturbée. Elle imaginait peut-être que je deviendrais son « petit copain » bien que je ne sois pas célibataire et même si je l’étais ; me le fera-t-elle payer ? En guise d’au revoir quand elle quitte l’appart, je lui claque la bise sur le pallier ce qui est en dit long sur mon état d’esprit. Elle reste un peu interdite puis s’éloigne. Je n’ai eu aucune nouvelle par la suite et nous avons repris le cours normal de nos existences. Il est vrai que les repas de famille ou autres cousinades n’avaient pas la même saveur pour moi. Au début stressé, avec le temps je garde le souvenir de son corps et je me dis que j’y goûterais bien à nouveau presque 15 ans plus tard. 
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