1. Des amis formidables


    Datte: 19/08/2020, Catégories: ff, fhhh, grp, fbi, couleurs, inconnu, sexshop, fsoumise, Masturbation intermast, Oral 69, fgode, double, fdanus, fsodo, jouet, yeuxbandés,

    ... corps en remontant jusqu’à mon soutien-gorge qu’il décapsula d’une main, se jetant alors avec avidité sur mes seins qu’il suça et mordilla avec douceur et maestria. Il me faisait tressaillir au plus profond de moi, la nature m’ayant octroyé une sensibilité mammaire si « particulière » que je peux jouir deux fois plus vite et plus fort, par simple succion de mes tétons. Je me cabrai, ne tenant plus, je descendis alors une main vers mon intimité. Il remplaça ma main par sa bouche, léchant mon sexe, me titillant le clitoris, m’effleurant l’anus, puis remonta vers ma poitrine toute gonflée et enfin ma bouche. Nos langues se mêlèrent avec avidité. Je ne savais plus quoi faire, attendre mon mari ou écouter mon corps qui devenait fou ce week-end. Il se recula quand je voulus le sucer. — Attends, je vais te bander les yeux, se sera plus intense. Et il me mit un masque de sommeil, malgré mes réticences. — Grrr… ne touche pas, gronda-t-il, tu l’ôteras quand je te le dirai. J’obtempérais et nos langues reprirent leurs jeux érotiques. Il est vrai que ses mains sur mon corps me procurèrent une tout autre sensation, décuplant mon plaisir, celui-ci venant plus rapidement. Je ne l’avais jamais fait avec mon mari, c’est pourtant si simple. Nos caresses se firent plus pressantes, mes doigts cherchant maintenant son sexe, je le masturbai puis le suçai avec avidité, tout ceci était palpitant. Au bout d’un moment il se leva, puis me prenant par un poignet, il m’attacha au lit avec les menottes. ...
    ... Je feins la surprise, mais j’avais bien senti ce qu’il voulait faire depuis le début, j’entrai dans son jeu, il voulait réaliser mon fantasme, mais ce n’était pas possible. Peu importe, le fait d’être attachée, d’être son jouet, enfin de lui faire croire, avait pour effet de me faire mouiller encore plus, de m’exciter au plus haut point. Je lui tendis l’autre bras et il m’attacha à l’anneau du lit. — Tu es à ma merci, me dit-il. Et il me tira par les jambes pour m’allonger sur le lit. Je l’entendis sortir de la pièce… Le silence… — Je l’appelai, mais il ne me répondait plus. J’avais les bras tendus au-dessus de ma tête, mais sans douleur aux poignets. Quelques instants je restais ainsi, seule dans la pièce, appelant à demi-mot. Enfin, la porte s’ouvrit… — Tu n’es pas très patiente, me soupira-t-il, venant près de moi caresser mes cheveux et les parties du visage non masquées. Je voulus parler, mais il me dit une nouvelle fois de me taire, le mystère et la sensualité devaient persister. Entièrement, des pieds jusqu’à la tête il couvrait mon corps de baisers, s’attardant sur mon abricot. Écartant mes jambes, il me faisait du bien. Le silence était total. Nous n’entendions que les bruits de succions de sa bouche et ceux de mon plaisir. Doucement j’entrai dans son monde. Un monde libéré de tout. Il prenait le contrôle de mon corps. Maintenant ses doigts fouillaient mon intimité, puis un gode les remplaça. J’écartais au maximum mes jambes, c’était si bon, il dosait mon plaisir, à ...
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