1. Le chauffeur de bus, les passagers et moi.


    Datte: 20/08/2020, Catégories: fh, fhh, fhhh, grp, inconnu, grosseins, bus, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe ecriv_f,

    Je venais de passer une soirée affreuse, une soirée qui ne s’était pas terminée telle que je l’avais souhaitée. Et pourtant, je l’avais attendue avec une impatience sans égal, je l’avais espèrée, passée et repassée dans ma tête. Elle allait être formidable, parfaite… Au final, elle avait été minable. Cela faisait près de deux mois que je n’avais pas revu Tony. Il était parti à l’étranger, un voyage d’affaires m’avait-il dit. Je n’en avais jamais douté. Pendant tout ce temps, il m’a beaucoup manqué et c’est dire avec quelle hâte j’attendais de le revoir. Il est arrivé cet après-midi et nous nous étions donné rendez-vous ce soir. J’avais pris un soin tout particulier à ma tenue. J’avais voulu être sexy mais sans pour autant afficher un air désespéré de femme en manque d’amour et de caresses. Cela avait été difficile parce que nous devions dîner dans un restaurant avant de nous retrouver seul à seul et on m’aurait très certainement enfermée à l’ombre si je lui avais sauté dessus en public. Ce soir, Tony n’a même pas posé les yeux sur mon décolleté. Pourtant, il était à la limite de la décence. J’avais voulu jouer la carte "poitrine" plutôt que la carte "jambes". Aussi, avais-je mis un pull très échancré, sans soutien-gorge, ce qui était rare vu la consistence de mes seins et un jean. Je précise que je sors très rarement sans sous-vêtements. Ma poitrine est lourde et je ne tiens pas, d’ici quelques années, à avoir les seins tombants aux genoux. Pourtant, aujourd’hui j’avais ...
    ... fait exception et j’avoue avoir apprécié, à chacun de mes pas, le frottement de mes mamelons contre la laine du pull. J’étais particulièrement excitée lorsque je suis entrée dans le restaurant. Nous nous sommes embrassés et nous aurions pu faire l’amour à cet instant-lá. J’étais prête. Tony m’a invitée à prendre place en face de lui. En voyant son visage, j’ai su aussitôt que quelque chose n’allait pas. Et bien avant que nous passions commande au serveur, je sus qu’il ne voulait plus de moi. Je suis tout de meme restée. J’ai mangé en silence tandis que Tony m’expliquait pourquoi notre relation était finie. Il parlait, me racontait les deux mois qu’il avait passé à l’étranger, sa rencontre avec une fille: le truc classique. J’écoutais à peine. Je ne me sentais pas concernée par cette nana que je ne connaissais même pas. Et me voilà, dans ce bus. Après le restaurant, nous nous sommes quittés. J’ai longuement erré dans les rues, ne sachant quoi faire, ne voulant pas entrer dans un bar toute seule, ne voulant pas vraiment rentrer chez moi, sachant parfaitement que mon appartement ne serait pas vraiment un refuge. Je savais que, une fois entre ces quatres murs, la solitude et le sentiment d’abandon serait encore plus oppressant. Je suis tout de même parvenue à prendre le dernier bus. Il est tard, nous ne sommes que quatre plus le conducteur. Il y a une autre femme un peu plus loin derrière moi. Elle aussi, est seule. Deux hommes sont assis à quatre rangs devant moi et discutent. ...
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