1. Abélia, ou l'impudeur


    Datte: 20/08/2020, Catégories: f, fh, ff, 2couples, jeunes, cadeau, copains, cinéma, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral 69, hsodo, Partouze / Groupe init, confession, nostalgie,

    ... contact de son majeur m’électrisa : aux anges, je me laissai glisser lentement, son pénis en main, me retrouvant sur le tapis, accroupie devant lui, la queue bandante désormais tout droit dirigée vers ma bouche. Décontenancé, mais désireux de persister dans l’hommage qu’il offrait à mon derrière, le garçon fut contraint de se pencher en avant, ce qui eut pour immédiate conséquence, on s’en doute bien, d’enfoncer celle-ci tout droit dans mon embouchure. Toute avide que j’étais de son fumet, je suçai cette bite gantée à regret, ainsi privée de la saveur poivrée de sa mouille, tandis que mon fondement provisoirement abandonné, l’homme soupesait mes gros seins, cette palpation rigoureuse et appliquée achevant d’irriguer un clitoris dont il me fallut entamer, d’urgence, la masturbation. Poursuivant ma pipe, j’observai ma compagne : toujours habillée, celle-ci se tenait debout, sur le canapé, mains contre le mur, robe relevée et pubis littéralement plaqué sur le visage de son partenaire, avançant et reculant contre lui avec une troublante virilité, cherchant visiblement à pénétrer cette bouche mâle, les deux mains de celui-ci accompagnant l’obscène mouvement de son cul. Dans cet étroit pantalon, le pauvre garçon bandait si fort qu’un instant j’imaginai sa queue exploser, maculer ses tissus de son lait chaud. Mais Abélia, miséricordieuse, cessa un instant sa danse, se délesta elle-même de son vêtement, et tandis qu’elle ouvrait d’une main la braguette de son amant, elle donna à ...
    ... téter son gros sein, comme s’il s’était agi de récompenser un jeune homme d’une douceur maternelle. Torse nu et docile, la bouche recouverte de mouille, l’homme suça ce brun mamelon avec une application presque servile. Tandis qu’il massait l’autre sein, je vis distinctement ses doigts explorer le sillon de son cul, avant de disparaître, occupés désormais à caresser le sexe de mon amie, dont on devinait seulement, de dos, les deux bosses caractéristiques. Paul et moi, nous poussâmes dans un éclat de rire, la table basse. Et nous nous retrouvâmes l’un et l’autre presque nus, enlacés sur le tapis. Tandis que l’extrémité de sa verge cherchait les portes de mon pubis, je vis la première fois ses yeux, de jolies billes vertes qui, je pense, eussent été dans d’autres temps plus douces, si la chaleur de nos corps n’y avait pas instillé le désordre de l’amour. Ne voulant pas qu’il me pénétrât avec trop de hâte, je saisis le bout de sa pine, et je me godai, joueuse, l’extrémité du con. À la recherche d’une position plus confortable, je lui demandai de se placer derrière moi, en cuillère, afin de me soulever plus franchement la cuisse. Ce fut sans doute à ce moment qu’Abélia, tenant son amant nu par la verge, quitta avec celui-ci le canapé pour s’approcher de nous. Celle que je regardais de temps en temps droit dans les yeux, s’était assise en tailleur, non sans avoir invité Esteban à faire de même, caressant du bout des doigts une bite bien plus imposante que celle de Paul, tige nervurée, ...
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