1. Abélia, ou l'impudeur


    Datte: 20/08/2020, Catégories: f, fh, ff, 2couples, jeunes, cadeau, copains, cinéma, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral 69, hsodo, Partouze / Groupe init, confession, nostalgie,

    ... établi du bout de ma langue avec le sexe d’Abélia, avec ces lèvres lisses, que je suçai pour la première fois, acheva d’électriser ma compagne, qui manqua presque de s’effondrer sur ma bouche, tant le plaisir qui maintenant la saisissait lui devint à peine supportable. Mes lèvres collées sur son pubis, je fus donc témoin, baisée tout comme elle, des palpitations du phallus qui l’avait inlassablement labourée. Dans un dernier effort, Esteban tint bien haut le cul de ma compagne, afin, sans doute, que je ne fusse pas écrasée du poids conjugué de sa bite et de son con. Il la fourra si fort que ma tête fut plusieurs fois entraînée dans le régulier balancement de leur étreinte. Alors, Abélia demanda à son amant de la remplir enfin. Comme à une ancienne complice, celui-ci répliqua en un souffle : — Tu veux… ?— Esteban… remplis-moi ! Sans plus se faire attendre, Esteban gémit et déchargea longuement, par salves. Abélia, que je savais toute concentrée sur sa petite fente, écarta d’une main ses lèvres, un accès plus facile à son bouton la menant plus aisément à l’orgasme. Son sexe avait été arrosé : comme si l’on eût rempli cette outre de crème ou de lait, celui-ci, pourtant bouché par ce membre qui débandait à peine, ne tarda pas à déborder. Paul me faisait toujours l’amour. Mais il me limait lentement, entrant et sortant de ma matrice de toute sa longueur. Bien que mon clitoris eût été encore bandé, j’étais désormais fatiguée de son sexe, tout attentive que j’étais au spectacle de ...
    ... la fente comblée d’Abélia – une exhibitionniste de mon espèce se devait d’être plus sensible que les autres femmes aux effets proprement visuels. Tandis que mon amant, du ventre, butait plus fort contre mon cul, je me laissai peu à peu souiller le visage par le jus d’Abélia et d’Esteban. Ce faisant, j’espérais que ce dernier ne se retirât pas trop. Or, non seulement l’amant déboucha le con mousseux de mon amour, mais l’onctueuse crème qui en sortit me coula aussitôt sur les cheveux, sur le nez et sur les joues. Tandis qu’au rythme des coups de reins de Paul, ma bouche se plaquait sur les lèvres crémeuses de ma compagne, celle-ci, exténuée de la multiplication vertueuse de nos efforts, et dans un râle prolongé de petits cris, se tendit à l’extrême et déchargea enfin, à quelques coups de langue de mon visage souillé et ébahi. Alors, celle-ci serra plus que de mesure la main qu’elle avait prise au moment même où jouissait son amant. Elle serra mes doigts avec une énergie telle, que cette ultime pression parut contraster avec la langueur dans laquelle cette femme, lentement, se laissait désormais aller. Je ne voulais plus qu’elle. Aussi contractai-je plus que de mesure les parois de mon vagin, épaule et visage posé sur le corps de ma belle ; dans un dernier effort et pour recevoir mon amant, je me cambrai, profitant d’une main libre pour palper copieusement les bourses de cet homme, qui, pelotant mes seins douloureux, remplit enfin, et par chaudes saccades, ma vulve fatiguée. * La ...
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