Sophie
Datte: 20/08/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Oral
69,
fsodo,
init,
... discrète sur Pascal. Sophie comprend qu’il y a eu une relation qui doit être maintenant probablement terminée. L’étude est fermée, tout le monde est parti en congé. Le premier jour, Sophie arrivée un peu intimidée, a dû sonner pour pouvoir entrer. Pascal est venu lui ouvrir, elle a failli ne pas le reconnaître. Il est vêtu décontracté, polo, pantalon clair, mocassins, très tendance. Cela le rajeunit encore, il est vraiment à croquer. — Sophie, nous allons vivre un mois ensemble. Autant mettre les choses au point dès aujourd’hui. Pour ce mois d’août seulement, le plus simple serait de s’appeler par le prénom, sans « Monsieur ». Et même ce qui me semble plus simple, ce serait de se tutoyer. Nous reprendrons les formes à la reprise. Qu’en penses-tu ?— Je suis d’accord pour vous appeler par le prénom, mais pour tutoyer…— Tu me tutoies, c’est un ordre de ton patron.— Si… tu veux.— Voilà qui va bien. Et pour la tenue, tu as vu que je me suis mis à l’aise. De ton coté, tu peux faire de même, d’ailleurs autant te dire que j’aime bien quand tu es en robe ou jupe, surtout quand elles ne sont pas trop longues, ajoute-t-il en souriant. Sophie est surprise par ces propositions, un peu gênée, mais finalement heureuse. Ainsi pas de problème, elle avait peur qu’il existe une distance entre eux qui n’aurait pas facilité leurs rapports. Ils se mettent rapidement au travail. Sophie amène les dossiers que Pascal vérifie. Elle les complète le cas échéant, les prend, les met sur un chariot. Au ...
... bout d’une paire d’heures, il est plein. Il n’est pas très grand, mais assez lourd à pousser. — Attends je vais t’aider, tu n’y arriveras pas. Je viens, je monte avec toi.— Mais si quelqu’un appelle ?— On ne répond jamais, tout s’enregistre sur le répondeur, j’écoute plusieurs fois par jour, je rappelle le cas échéant. L’étude est fermée et nous ne sommes là que pour les clients fidèles. Ils ont mon numéro de portable si c’est urgent, mais c’est très rare. Heureusement qu’il est venu l’aider, car elle n’aurait pas pu sortir son fardeau de l’ascenseur. Dans le local des archives, c’est elle qui prend la direction des opérations. Il lui tend les dossiers qu’elle met en place. Pour les étagères hautes, elle doit monter sur un escabeau. Malgré la difficulté, Pascal ne se propose par pour la remplacer dans ces cas-là. Il est trop occupé à contempler le dessous de la robe. — C’est ça, ne te gênes pas, curieux, qu’est-ce que tu comptes voir là-dessous ?— Les plus belles jambes que je n’ai contemplées depuis fort longtemps, et même par moment un peu plus, dit-il en riant.— Cochon, voyeur !— Non, esthète, admirateur respectueux. Et tous deux éclatent de rire. La curiosité de Pascal n’est pas pour me déplaire pense-t-elle, au contraire, tant qu’il en reste là. Et même, s’il envoyait la main, je ne sais pas trop ce que je ferais. Car le clerc manifeste son admiration pour le dessous de la robe de son employée, mais reste respectueux, ce qui énerve Sophie, elle aurait aimé une tentative ...