1. La rue


    Datte: 22/08/2020, Catégories: fh, couple, extracon, cocus, fépilée, coiffure, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, amourdura, extraconj,

    ... ça va aller. D’ailleurs, hier j’ai épargné la porte arrière. On pourrait tenter un essai. Tu veux ? Une fois dans le bain, tu ne voudras plus t’arrêter. Mais si c’est trop douloureux, on pourra remettre à plus tard, je répondrai toujours à l’appel. Un morceau comme toi, c’est comme du filet. Il va découper sa vache sur le billot ! — Pour le moment je préfère par-devant. On verra plus tard. Tu ne peux pas te contenter de la bouche aujourd’hui ? Je m’appliquerai, tu seras satisfait. Mais pas la rondelle. Elle ne précise pas pourquoi. On ne dévoile pas ses petites infirmités du premier coup. Ça pourrait faire fuir le candidat. Ils se dirigent vers la chambre à coucher. L’huissier fait signe d’attendre : il veut un constat bien ficelé, peu importe l’orifice, les prendre vraiment en flagrant délit, en pleine action, au moment où les coupables sont psychologiquement les plus fragiles. Il va être servi. Le spectacle va avoir lieu. — Dis, on se fait un petit 69 ? Assois-toi sur ma bouche, penche-toi et joue du pipeau.— Ouïe, fais doucement. Je t’ai dit que tu m’avais irrité la muqueuse. Mon clitoris est en feu. Sois moins rude. Crache dessus, lèche, mais en effleurant. Hooo.— Bon on va passer au plat principal. Tu as de la vaseline ? Oui, ce tube va permettre une pénétration sans douleur. Tu joues à la douillette aujourd’hui. Attention, le petit train arrive, la locomotive approche du tunnel. Elle entre, tcheuh, tcheuh…— Hooh. La vache, ça brûle. Doucement bon sang. Je ne me ...
    ... souvenais pas qu’elle était aussi épaisse… Hoong, hoo. C’est une queue de concours. C’est bon mais ça déchire. C’est du feu.— Allez bouge un peu, soulève-toi. Bien, tu vois c’est meilleur. On va faire tout doucement mon bébé. Je suis tout au fond. On ne bouge plus, on savoure. Bouge pas, déguste.— C’est bon. Tu me remplis, je sens les pulsations de ton sang. Et toi, tu sens mes contractions ?— Oui, mais je ne vais pas pouvoir attendre longtemps. Tu m’excites. Je me retire.— Hoo, hum, heu, heu, heu, ahh.— Vlan, prends ça, tiens. Tu vois, il suffisait d’avaler la pièce, vas-y. Roule ma poule. Et va que je te pousse. Le train est parti, il prend de la vitesse. C’est un express. La bielle s’emballe, Émilie fait le sifflet. Le chauffeur charge le four et crie qu’il fait chaud. Émilie tire le signal d’alarme, mais le convoi lancé n’obéit pas à ses supplications. C’est un train fou. L’huissier nous fait signe de le suivre. Difficile métier. L’habitude des interventions ne l’empêche pas de ressentir des émotions. Laure de l’index désigne la bosse de son pantalon et retient un fou rire. Dans un cri de plaisir mêlé de douleur, Émilie s’envole, le coq pousse son cocorico et maître Konsta fait irruption en se présentant d’une voix de stentor. Marcel reste planté dans Émilie, freins bloqués. Laure hurle de colère feinte, insulte Marcel, envoie des claques de théâtre. L’huissier lui ordonne de se calmer. Je prends un air désolé. Enfin Marcel roule sur le dos, étendard dressé vers le lustre, gras ...