1. Nadine 04


    Datte: 22/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ouvrait sa braguette, se masturbait entre ses fesses ou venait s'appuyer contre son anus directement si sa verge était assez dure avant de s'enfoncer avec un Han! de bucheron dans son petit trou qui devenait de plus en plus accueillant à force d'être ramoné tous les jours par la bite de Jean ou les longs doigts de Carmen. Bien entendu, après que l'un des deux amants avait fait usage soit de son sexe soit de son cul, Juanita se devait de nettoyer parfaitement avec sa langue la bite ou les doigts qui avaient fouillé son intimité. Avec les jours, ce travail lui semblait de plus en plus normal, allant de soi. On la faisait jouirÊ: il était normal qu'elle nettoie ce qu'elle avait sali. Ch10 rasée en public exhibée Carmen voulait encore plus humilier Juanita. Elle suggéra de raser complètement la jeune femmeÊ: chatte et crane mais cette fois, Jean s'y opposa. Détruire la chevelure opulente de Juanita qu'elle avait mis tant de temps à laisser pousser lui semblait un crime intolérable même si l'humiliation de Juanita aurait été totale comme il le reconnut lui-même. Carmen dut abandonner son projet et ne se rabattit qu'avec plus de véhémence sur sa suggestion de lui raser la chatte couverte d'une fourrure épaisse. En argot, on appelait ce genre de toison un tablier de sapeur et les hommes du 19¡ siècle en raffolaient. Jean appréciait aussi de passer les doigts dans ces poils si doux, voire parfois de la tirer à lui pour la baiser en s'accrochant à son pubis mais il comprenait qu'il ...
    ... devait céder parfois aux demandes de Carmen pour lui complaire. Il lui parut très politiquement correct de lui proposer de raser elle même la jeune femme soumise. Carmen voulait un rasage en public devant tous leurs amis. Elle leur téléphona à tous pour connaître leurs disponibilités et ils se réunirent tous chez Jean par une chaude journée de Juin. Juanita avait été autorisée à mettre sa robe avec des incrustations de macramé. L'effet habituel se reproduisit et les mamelons pointèrent rapidement par les trous du macramé. Juanita était de service à la porte pour accueillir un à un tous les nouveaux arrivants. Ils furent surpris de la trouver habillée en apparence aussi normalement mais ils ne manquèrent pas de repérer les petites pointes de chair qui pointaient au dehors. Ils se firent un malin plaisir à les caresser et les faire s'allonger encore un peu plus. Carmen eut l'idée particulièrement perverse de fixer des pinces à linges au bout de ses mamelons étirés. Juanita cria lorsque les pinces se refermèrent sur les pointes si tendres et sensibles. Elle pleura même en réalisant que Carmen n'avait aucunement l'intention de lui enlever ces pinces qui lui faisaient si mal. Lorsque le dernier des huit invités de Carmen fut arrivé, elle ordonna à Juanita d'enlever sa robe en prenant bien garde de laisser les pinces à linge en place. Chaque effleurement la faisait grimacer de douleur au grand plaisir des spectateurs qui guettaient chaque expression de son visage. Carmen officierait ...