1. De la jalousie au candaulisme


    Datte: 10/10/2017, Catégories: fhh, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, extraconj,

    Bien plus jeune, je ne supportais pas que l’on regarde ma compagne. Était-ce la peur de la perdre ou d’affronter un plus beau ou plus doué que moi, je n’en sais trop rien. C’était l’époque des mini-jupes et la moindre position assise dévoilait rapidement ses dessous, c’était aussi l’époque des pantys, il y avait donc demi-mal. Au fur et à mesure des années, mon comportement a changé, trouvant agréable que les autres la regardent, me flattant ainsi de la « belle » femme qui était mienne. Les jupes et les robes s’étaient allongées, mais le tissu plus fin, proie facile au coup de vent improvisant ainsi des « Maryline » de passage. Le soulèvement dévoilait, selon, petites culottes moulantes ou ensemble bas-porte-jarretelles, must des musts à l’époque. Mon épouse s’était mise au goût du jour et chaque révélation de ses dessous finissait par m’exciter plus que de voir ceux des autres. La complicité naissante, nous nous sommes mis à partager des instants « sympathiques » et elle me dit plus d’une fois : — Ce n’est pas moi qui montre, ce sont les autres qui regardent ! Très rapidement nous passâmes au cran au-dessus, tant dans les salons d’essayage que dans des situations pleines d’imprévus. Ah ! Les salons d’essayage où le rideau mal fermé permettait aux passants de se délecter de l’instant de cet essai de cette petite robe d’été. Ah ! Ce jeune étudiant, employé dans un magasin de chaussures et qui manifestement ne refusait guère d’être « aux pieds » de madame pour lui essayer ces ...
    ... espadrilles à lacets, l’obligeant, le « pauvre » à voir cette petite culotte à poix bleus qui cachait tout juste ce qu’elle devait cacher. Néanmoins, je « m’inquiétais » un peu de mon état : cette situation était-ce normal ? Étais-je en train de devenir un pervers ? Était-ce normal d’avoir une érection aussi forte dans ces situations ? Allais-je consulter un psy ? Les forums de l’internet me permirent de trouver, disons un « conseiller » qui d’email en email me réconfortait, jusqu’au point de le rencontrer. Homme d’un certain âge, disons la soixantaine ne la faisant pas, il m’expliqua le mécanisme du candaulisme, suite logique du voyeur extrême que j’étais. Il me proposa de lui soumettre une invitation, rencontre lors de laquelle il proposerait de masser mon épouse. Je le voyais venir et fus assez cru pour le taxer de profiteur. Il s’en étonna et me dit : — Vous ne comprenez pas, il n’est pas question pour moi d’abuser de la situation, bien évidemment mes mains deviendront de plus en plus indiscrètes s’il y a adhésion de votre épouse, mais pour le reste ce n’est pas ce que je recherche. Je veux vous faire découvrir la potentialité de complicité avec votre épouse et je ferai en sorte que vous puissiez voir l’évolution de l’instant, sans qu’elle sache que vous regardez… Intrigué, j’acceptai et le jour du rendez-vous je me demandais bien ce qu’il allait se passer. Très distingué et affable, le « personnage »… appelons-le « IL », sut, après quelques verres, faire la proposition à ...
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