La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°842)
Datte: 23/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... petit sur le sol. Les vagues de plaisirs montaient, arrivaient comme un cheval au galop, je doutais de ma capacité en cet instant à ne pas laisser éclater mon orgasme, si le Noble continuait ainsi. Et alors que j’allais me décider à Lui demander l’autorisation de jouir, Il se retira, présenta Son membre toujours fièrement dressé à mon anus, et le força sans difficulté. À nouveau, Il se mit à me besogner, à me défoncer profondément. Je gémissais, criais presque. La fièvre montait de plus en plus ! Tenant difficilement sur le fil de la jouissance je me décidais à implorer le Châtelain de me laisser jouir. - Oui Ma chienne, Ma chose, vas-y jouis ! Maintenant ! cria-t-Il en se déchargeant de longues saccades de Sa semence au fond de mon cul. Un long cri puissant, sauvage, animal sortit alors de ma gorge, venant du plus profond de mes entrailles. Je tremblais, je ne tenais plus ma position et m’affala sur le sol, Le Maître sur mon dos entraîné par ma chute. Nous restâmes de longues minutes en coït profond, sans bouger, moi me sentant tellement bien, tellement en sécurité, bien remplie, bien pleine de son Vit me possédant totalement et tellement petite au creux de ses bras dominants. - À genoux Ma chienne ! dit-Il d’une voix douce. Viens nettoyer Ma queue qui t’a fait l’honneur de te ...
... prendre ! Je m’exécutais avec un bonheur infini. Puis je me prosternais à Ses pieds et le remerciais du plus profond de mon âme. Le Châtelain m’expliqua enfin que nous étions dans un club BDSM, avec un restaurant ouvert à tout le monde, sauf une journée par semaine, où il était réservé aux personnes faisant partie du monde chocolat, avec des salles spéciales, privées ou publiques, et donc qu’à aucun moment, je n’avais eu à craindre quoique ce soit. Nous allâmes ensuite rejoindre Walter, qui nous accompagna, lui dans son véhicule, Monsieur le Marquis et moi dans sa voiture, jusque chez moi. Le Noble m’embrassa tendrement et remonta dans Sa voiture, prêt à partir. Walter, au moment où je le saluais respectueusement en lui souhaitant une bonne route, jusqu’à, je suppose, son hôtel ou dès demain matin, il devait partir pour l’aéroport prendre son jet privé. Il s’approcha de moi et me tendit discrètement, sans que le Maître le voie, un papier, et avec un sourire accompagné d’un clin d’œil devant mon regard incrédule, remonta lui aussi dans son véhicule. Et je les regardais tous les deux quitter l’allée de mon terrain, le cœur gros de voir partir le Maître. Une fois les deux autos hors de vue, je regardais et lisais avec attention la feuille que m’avait donné le Majordome. (A suivre …)