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Comment ma femme s'est dévergondée (6)
Datte: 24/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... l’embrasse rapidement, un petit bisou sur la bouche. "Et alors ? Tu n’as rien oublié quand tu rentres chez moi ?". La mort dans l’âme, je commence à me déshabiller. Je suis bientôt nu. -Reste debout. Mains derrière le dos". -Avec Sandra, nous avons décidé d’un certain nombre de choses, de mesures te concernant. Dont une immédiate que je t’annoncerai tout à l’heure". -Tu vas également être puni pour m’avoir manqué de respect tout à l’heure". -Mais je ne vous ai pas manqué de respect. Comprenez moi, j’étais angoissé". -Tais-toi. Tu seras puni". -Sandra, tu peux y aller, je vais lui parler". Sandra se lève, s’habille et sort. — A genoux, mains derrière le dos !". — Bien. Donc, je t’annonce la première mesure. Nous sommes lundi. Sandra passera toutes les nuits de la semaine ici, jusqu’à la nuit de dimanche à lundi inclus. Je fonds en larmes, me jette à ses pieds, attrape ses chevilles. — Non ! Je vous en supplie, je vous en supplie ! Pas ça ! Non ! Je ne veux pas… Je vous en supplie… Je vous en supplie...". Il dégage ses pieds. — Dégage de mes jambes et remets toi en position ! Tout de suite !! J’obéis, en larmes. — Sandra sera donc dans mon lit toute les nuits de cette semaine. Et comme tu as été insolent et que tu m’as mal parlé, en plus, elle ...
... vient s’installer chez moi pour la semaine ! J’éclate en sanglots. — Oh non…..non… non…. NON… — J’ai dis ! Ca t’apprendra à désobéir à mes ordres ! Au départ, elle ne devait passer qu’une autre nuit avec moi, mais j’espère que le fait qu’elle couche avec moi toutes les nuits de la semaine et vienne s’installer ici te mettra un peu de plomb dans la cervelle et t’incitera à obéir ! Je pleure. Je hurle. Il me met une gifle. Je continue. Il rentre. Revient avec une paire de menottes. Me prend les mains, les met devant et m’attache. pvxpjjis -Lève toi ! Je suis debout, en larmes, au bord de la crise de nerfs. Nu et menotté. Il prend le tuyau d’arrosage. L’ouvre au maximum et m’arrose. Ca dure au moins un quart d’heure. L’eau est assez froide. Je suffoque, manque de tomber. Il arrête le jet. Va dans la remise, revient avec une corde. Il passe la corde au milieu de la chaîne des menottes et me conduit à l’entrée de la tonnelle. Là, il passe la corde en haut sur l’armature. Tire dessus, mes bras se tendent, suis bras levés face à l’entrée de la terrasse. Ruisselant. Il bloque la corde. — Bon ! Tu vas rester un moment comme ça. Et tu vas te calmer !! Il part un moment. Me laisse en position. Puis revient. — Tiens ! J’ai quelque chose pour toi, cocu !