Top Model (3)
Datte: 24/08/2020,
Catégories:
Transexuels
... de se mettre en levrette pour se faire ramoner. Elle se rapprocha de Marion qui défit son pantalon et offrit sa chatte humide à sa langue. Je quittai le salon avant de me répandre dans mon caleçon. Les cris de jouissance de Léa résonnèrent encore un moment. Le silence se fit, puis du bruit dans les chambres et la salle de bains et enfin, de nouveau le silence. Je dormis très mal, mon esprit embrumé par la scène pornographique que j’avais vu en direct et ma future défloraison. Nicolas mit fin à mon tourment dès le lendemain soir. Etrangement, les filles avaient décidé de sortir. — Un pari est un pari. J’ai fait ma part. A toi maintenant de faire la tienne. — C’était facile avec cette nympho de Léa. — Peut-être. Allez, ne t’en fait pas une montagne. Je ne vais pas te faire mal, t’inquiète. Au contraire, si je veux que tu apprécies, j’ai tout intérêt à être très doux. — On fait comment ? demandé-je résigné. — Tu te laisses faire, c’est tout. Ne t’inquiète pas, je ne ferai rien de tordu. On va faire l’amour, toi et moi, comme tu le ferais avec une fille. Sauf qu’en termes de pénétration ça ne sera pas pareil. Je n’étais pas sûr que cela me rassure, mais je suivis Nicolas dans sa chambre, comme un animal qu’on menait à l’abattoir. Il me fit assoir sur son lit et se colla à moi. Comme il en avait l’habitude, il commença par me faire des bisous dans le cou, jouer avec mes oreilles, chose qui ne me laissait pas indifférent. Sa main se posa sur mon sexe qu’il caressa à travers le ...
... pantalon. Sa bouche se dirigea vers la mienne. Je gardai les lèvres serrées, jusqu’à ce que je reprenne ma respiration. Il en profita pour fourrer sa langue entre mes dents. On bascula sur le lit. Nicolas menait la danse et il conduisait bien, fallait l’avouer. Même si j’étais crispé, je répondis maladroitement à son baiser. Il ne fit aucun commentaire, se contentant de continuer de fouiller ma bouche. Sa main s’insinua sous mon pantalon, trouva mon sexe mou. Il quitta enfin mes lèvres. Je pus reprendre ma respiration pendant qu’il défaisait mon pantalon. Puis, il me suça. Je mis un moment avant de commencer à durcir. Mais Nicolas ne montra aucun signe d’impatience ni d’exaspération. — Viens, dit-il, il faut préparer ton petit trou. Nous passâmes un moment à la salle de bains où il me donna un avant-goût de ce qui allait m’arriver. Lorsqu’il jugea que j’étais prêt, on revint dans la chambre. Il se déshabilla à son tour son sexe était à moitié bandé. Il s’allongea contre moi et m’embrassa de nouveau. Il prit ma main et la posa sur sa queue. — Caresse-moi, demanda-t-il doucement, comme si tu te branlais. J’obéis, docile. Refuser, résister ne servait plus à rien. Je le fis pendant un moment. Puis il mit sa main sur ma tête et appuya. Comprenant ce qu’il voulait, je glissai vers sa queue désormais bien raide. Il me laissa faire. Avec une certaine appréhension, et il faut bien le dire, dégout, je pris son gland entre mes lèvres. Je fis quelques allers-retours timides, sans aller trop ...