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SAP&cie 04
Datte: 24/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... Elle savait y faire pour le faire parler, sans doute parce qu'elle savait l'écouter et qu'elle lui avait aussi révélé des secrets. Des secrets inavouables, des secrets qu'on ne pouvait révéler qu'à une personne de confiance. Lui qui était si peu bavard, il succombait aux charmes de cette française, à ce "je ne sais quoi" qu'ont les vraies femmes françaises comme Sophie Marceau, Virginie Ledoyen, Laetitia Casta ou Marion Cotillard. Son désir était difficilement contrôlable au côté de cette femme aux allures de Françoise Hardy des années soixante "mon amie la rose" dont il était amoureux dans sa jeunesse tout comme Mick Jagger, David Bowie ou Bod Dylan. Pourtant elle ne manquait pas d'autorité dans son travail. Le contraste entre son statut professionnel et ses penchants en privée l'excitait honteusement. C'était un doux euphémisme de dire qu'ils passaient de très bon moment ensemble.Ça me fera du bien de lui parler de mes déboires et peut-être qu'elle me fera sa spécialité. Une nouvelle fois cette impression de malaise s'imposa dans sa tête en même temps qu'une lumière rose se diffusait dans la pièce. - Rose, dit-il afin que cette lumière se fige et ainsi laisser sa pensée faire son chemin. C'est alors qu'en repensant à Sylvie, la directrice du SAP, à sa "française ardie" et aux jeux auxquels elles l'avaient rendu accro, sa pensée se fixa. Et il comprit.No! God! No! Ce ... ça n'peut pas ... pas ça ... ce n'est pas possible ... serait-ce ... ELLE? ... suis-je ... si bête ... ...
... suis-je si naïf ...?!Il réfléchit et toutes les pièces du puzzle s'emboîtèrent. Il eut des flashs d'événements passés avec Sylvie. Leur rencontre qu'il avait toujours cru fortuite dans l'ascenseur. De la première fois où il l'avait emmené au resto. Leur premier "french kiss" qui l'avait cloué sur place, tant il était chargé d'érotisme. Puis l'aveu qu'elle lui avait fait sur son attirance pour le SM. Son allusion à peine cachée qu'elle rêvait secrètement de tester ses pratiques de soumissions avec lui. Oui, la directrice Sylvie aimait bien qu'on la mène gentiment à la baguette. Il comprit que cette surprenante révélation avait été la clef. Ce fut l'illustration de cet aveu coquin qui l'avait libéré inconsciemment, qui lui avait délié la langue, au sens propre comme au sens figuré. Un soir, alors qu'il venait de sortir de la douche uniquement vêtu d'un peignoir, elle lui avait sorti le grand jeu. Elle lui avait tout simplement demandé de l'attendre sagement dans la chambre. - Mets-toi assis au pied du lit mon chéri, attends-moi sagement. Je ne serais pas longue. De son côté, sa Sylvie était entrée dans la salle de bain avec un grand sac. Ce soir là, elle avait illustré son secret en débarquant déguisée en Cat-Woman, fine combinaison simili-cuir moulante dézippée jusqu'au nombril, bottes à talon aiguilles, un collier relié à une laisse et un serre-tête à oreilles de félin. Elle était apparut dans l'entrebâillement de la porte, incroyablement sexy, adoptant un pause équivoque, ...