1. LE MARIN. Et les pics assiettes. (2/4)


    Datte: 24/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... qu’elle s’empresse de faire. Elle met, l’imper prend son porte-monnaie dans un tiroir et comme je lui ai commandé simplement vêtu de ce vêtement et de ses talons hauts, elle me quitte. Assis sur une chaise dans la cuisine, je l’attends en sirotant une bière trouvée dans le frigo. Quel plaisir après avoir cocufié ce pic assiette en baisant la chatte de sa femme et maintenant en sirotant sa bière, je me sens le roi du monde. Surtout qu’en parlant de monde, avant ces quelques jours de vacances, j’ai appris que je quittais Toulon pour Lorient pour embarquer sur le Suffren dernier bateau sortie des arsenaux et qui doit partir pour ses essais en mer pour Rio. Là encore c’est une autre histoire que LE MARIN racontera. Sur la place, je sais qu’il y a une pâtisserie ouverte, je l’ai vu en sortant du métro. Je me fais du souci lorsque au bout d’une demi-heure, elle est toujours absente. Encore un quart d’heure d’attente et je l’entends entrer. Elle a déposé son imper dans l’entrée et elle me rejoint avec à la main un paquet qu’elle tient par la ficelle. Je suis gourmand de ce genre de gâteau, mais par jeu je lui ordonne de le mettre dans le frigo lui reprochant le temps qu’elle a mis. Elle se défend et m’explique qu’elle a dû faire trois pâtisseries avant d’en trouver une ouverte pendant l’heure de midi. Ce que j’aime, c’est lorsqu’elle m’explique le plaisir qu’elle a pris lorsqu’elle croisait des gens surtout des hommes qui s’étonnaient de voir cette jolie fille remonter la rue en ...
    ... imper sous le magnifique soleil qu’il fait dehors. Pour se faire pardonner, elle vient s’asseoir sur mes genoux se frottant régulièrement la croupe sur ma verge. Elle se relève, se retourne et viens s’empaler sur ma verge en m’embrassant à pleine bouche ses bras autour de mon cou. Je n’ai rien à faire qu’à profiter de ses montées et décentes de son corps manquant chaque fois de sortir tellement elle veut se donner des coups de bites de plus en plus puissants. Son visage dans l’attente du plaisir qui monte en elle est méconnaissable. Ses yeux se révulsent me montrant le blanc du fond de l’œil. Ce qu’elle cherche, elle le trouve lorsqu’il lui est impossible de se remonter une dernière fois tellement son corps explose. Je la saisis sous ses fesses très pulpeuses et je la porte sur le lit où je la jette sans ménagement comme si je déposais un sac à patates. Je m’attendais qu’elle se rebelle, mais non un joli sourire apparaît sur son visage. Mieux elle semble boulimique de sexe, elle me tend les bras où je m’abandonne. Dans la cuisine, je l’ai prévenue que, vers dix-sept heures elle aurait une surprise. Elle m’avait tanné pour savoir ce que je lui réservais. J’ai tenu bon et lorsque l’on sonne, je la vois aller prendre son peignoir vers la salle de bains. L’ordre que je lui envoie est exécuté dans la seconde qui suit. C’est nue qu’elle se dirige vers le couloir et qu’elle ouvre à Robert qui sort de la caserne son service terminé. Sans aucune pudeur Espoir amène mon cousin le tirant ...
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