1. Doubles vies


    Datte: 24/08/2020, Catégories: fh, couple, cinéma, noculotte, Oral pénétratio, fsodo,

    ... que les images du film défilaient sous nos yeux, même si les miens étaient plutôt rivés sur son corps tendu par le désir. Habilement, sa main défit les boutons de mon jean pour atteindre mon boxer. Ses doigts s’infiltrèrent sous le tissu, caressant mon engin déformé par cette érection. Pendant que ma main gauche visitait sa vulve, caressant alternativement son clitoris, puis m’immisçant jusqu’à la rondelle de son anus serré, ma dextre avait déboutonné son soutien-gorge et caressait ses seins plantureux. Je faisais durcir ses tétons, puis malaxais sans retenue ses globes volumineux. Je la voyais retenir ses gémissements pour que nos voisins ne s’aperçoivent pas de notre manège. J’avoue que la proximité des autres spectateurs ajoutait à l’excitation, même s’il n’y en avait pas forcément besoin. Heureusement, l’histoire semblait prenante et tous les regards étaient fixés sur l’écran. Et si ce n’était pas le cas ? Tant pis, c’était trop bon. N’y tenant plus, elle finit par retirer mon boxer et se pencha sur mon phallus dressé. Ses lèvres engloutirent le dard et coulissèrent doucement tandis que sa langue jouait avec mon gland. Je sentais mon désir monter de plus en plus, mais je me retenais, voulant profiter plus longuement de l’instant unique. Je sentis à son spasme et au cri qu’elle ravala qu’elle venait de jouir. Son corps fut secoué de petits spasmes tandis que je continuai à la caresser sur son bouton de plaisir. Mes doigts étaient inondés de cyprine. Elle me glissa à ...
    ... l’oreille : — Rejoins-moi aux toilettes ! Puis, elle me planta, la bite à l’air, en s’éclipsant. J’enfournai le matos le plus discrètement possible, attendis deux minutes avant de quitter la salle à mon tour. Quelques grincheux protestèrentcontre ces gens qui ne prennent pas leurs précautions avant d’aller voir un film. Pendant ce temps, Nora Hamzawi crevait l’écran. Je me promis de revoir ce film de façon plus assidue. Les toilettes étaient assez loin. Lorsque j’y entrai, je passai devant les w.c. des dames. Deux d’entre elles attendaient alors qu’une autre tenait la porte. Sandra n’était pas là. Je poursuivis jusqu’à ceux des messieurs. Personne non plus ! J’avoue que je n’appréciais pas qu’elle ait pu me planter comme ça après avoir joui tandis que j’étais au summum de l’excitation. — Je suis là, susurra une voix dans la dernière cabine. Je reconnus immédiatement la sienne. Elle m’attendait, la jupe remontée sur son ventre, les fesses à l’air et le sexe tendu vers moi comme un défi. Vision des plus bandantes s’il en était. Je baissai rapidement mon pantalon pour caler mon sexe contre sa croupe, caressant son sillon fessier avec mon gourdin ivre de désir. Je l’entendais gémir, puis sa main s’empara de mon attribut viril et le planta dans sa chatte sans ménagement. Sans attendre, elle ondula du bassin, faisant ainsi coulisser son minou sur ma chair. Comme nous étions seuls, elle se laissa aller à gémir de plaisir. Je profitai de la position pour lui asséner quelques claques ...