Découvre l'autre - Histoires de Sexe

Découvre l'autre

... suis restant fiché en elle. Sur un ton d’agonisante, elle demande que je reste en elle, de l’écraser, annonce qu’elle jouit encore. Je m’assure de ne pas lui faire supporter mes 88 kilos et reste en place. Lorsqu’elle ressent que mon érection se perd, elle sourit. — Je l’ai eue, elle est morte, dit Catherine— T’as eu le propriétaire aussi, dis je me couchant sur le dos.— Je suis morte, moi aussi.— Catherine, tu m’as fait un bébé. Elle éclate de rire, me traite de grand fou, dit que c’est sa phrase à elle, ajoute qu’elle m’aime puis dépose un baiser sur mon épaule. Elle remarque la marque de la morsure. — Ho, je t’ai fait mal ? questionne Catherine. Je lui montre les rougeurs laissées sur mes poignets par ses ongles, il y même un petit filet de sang. Elle est attristée par son attitude, s’excuse. Je la serre fort contre moi, lui dit qu’elle est ma tigresse, que je l’aime ainsi. Se justifiant, elle reporte la faute sur moi, que je joue sur son mental. — De quoi tu parles ? dis-je, surpris.— Écoute, il y quatre jours, nous n’étions que des partenaires de travail. En une nuit, nous sommes passés du fantasme sexuel à amants pour terminer en amour le matin, c’est du rapide, tu ne trouves pas ? D’accord, on a rattrapé le temps perdu. Elle fait une pause, regarde le sperme qui s’écoule hors de sa chatte, voit que je fixe le même endroit, elle sourit. — Avant toi, j’ai connu que des ti-Jos fling flang flung, teste l’eau chaude sur le sein gauche, l’eau froide sur le droit, du ...

... doigt vérifie la température à la sortie du tuyau puis le graisse en trois coups pensant que la madame va être contente et satisfaite du travail. Malgré sa description colorée, je me désole qu’elle n’ait connu que ce genre d’homme. — Toi, tu m’as fait comprendre que j’ai droit à tous les plaisirs, que je décide de la limite, que je peux sans gêne prendre le contrôle, m’exprimer dans le sexe. J’ai à peine osé te faire une cravate de je ne sais pas qui sans me rendre au bout, toi, tu t’es laissé attacher. Tu m’as permis de jouer avec ton corps, tu me fais un strip-tease cochon, tu te permets de t’exhiber sans pudeur parce que je l’ai demandé. Sais-tu que dans ma petite tête, c’est des trucs que les hommes demandent aux femmes. Je te demanderais de prendre des poses cochonnes pour te photographier que je serais même pas surprise que tu acceptes. Elle se met à rire, imaginant probablement la situation. Je lui mentionne que ça pourrait être une expérience à tenter, bien que je ne sois pas trop chaud à cette idée. — Tout ça m’a menée à baiser, pas faire l’amour ; du sexe, du vrai, là c’est moi qui ai baisé mon homme. On va encore faire l’amour, sois sans crainte, j’en ai besoin. Mais attention, tu as ouvert la porte de la cage de la tigresse. Tu regardes depuis quelques minutes le sperme qui coule jusque sur mes fesses. Avant, je me serais cachée, maintenant, j’éprouve du plaisir à te montrer à quel point tu as bien joui. Je constate qu’elle a bien changé en peu de temps, ma belle ...