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LA MANTE RELIGIEUSE. (3/14)
Datte: 17/06/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Marié à Aurélien depuis hier, je dois me donner à son frère aîné comme le veut le droit de cuissage instauré dans leur famille depuis des générations sans qu’il me mette au courant de ce qu’il va arriver. La grosse queue qui me prend mon hymen et mon cul me permet de faire éclater mon corps dans de nombreux orgasmes. Au cours de nos ébats Antoine va chercher son frère qui m’a épousé pour lui montrer la pute qu’il a fait de moi alors que j’étais une jeune fille un peu fleur bleue. Souhaitant que je me présente à lui ce soir dans une tenue affriolante nous venons d’aller dans une boutique de lingerie en acheter. • Viens, je te paye un verre, allons près du canal il y a de nombreux cafés. Après nous êtres assis à une terrasse j’ose poser une question à mon suborneur. • Pourquoi écartez-vous mon mari en bout de table ? J’ai peur d’en avoir trop dit mais l’éloignement de la fratrie semble donner plus de liberté à mon amant. • Parce qu’il est blond et que nous sommes noirs. • À cause de ses cheveux ? • Non, la tromperie de ma mère il y a 22 ans l’année de mes neuf ans. • Peux-tu m’expliquer ? • Tout c’est passé en été, nous avons vu arriver à pied avec leurs sacs à dos trois garçons aussi blonds que celui qui aspire à devenir ton mari. Ils ont demandé à mes parents s’ils pouvaient s’installer dans le champ à côté de la maison et mon père a accepté. Un après-midi je suis rentré d’une façon impromptue étant allé chez un ...
... camarade pour faire mes maths. J’avais oublié un de mes cahiers et je suis revenu. Le spectacle auquel j’ai assisté était impensable pour moi. Ma mère que je voyais nue pour la première fois de ma vie du moins depuis que j’avais l’âge de raison était prise en sandwich entre deux de ces Scandinaves. La double pénétration qu’ils lui imposaient semblait lui plaire son corps étant tétanisé et sa bouche remplie par la dernière verge à sa disposition. J’ai regardé cette femme que j’idolâtrais se comporter comme la truie que nous avions conduite à la saillie la veille auprès de son verrat et qui avait bourré sa femelle avec sa queue en tire-bouchon. Certes les queues qu’elle se prenait étaient bien droites et elle semblait avoir une grande expérience de la manière de s’en servir. Les mots qu’elle employait étaient à la hauteur de la vision que j’avais de ce corps pris par ses trois trous. Chaque fois qu’elle lâchait la verge de celui qui se masturbait dans sa bouche j’étais outré que maman puisse dire des mots comme. • Enculez-moi, mettez-la-moi bien profonde, plus fort les deux sexes défoncés moi. Et la révélation qu’elle fit dépassait tous les entendements. • C’est ça comme cela, quand je faisais la pute à Toulon avant que mon couillon de mari m’épouse quand je suis revenu chez mes parents à Aix les bains les sexes que je m’enfilais me donnait plus de plaisir que vos bites. J’étais enceinte d’un client qui m’avait payé pour baiser sans capote, je vous dis tout cela car je sais que vous ...