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Ma nouvelle voisine (suite)
Datte: 26/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... son amie et elle bien sur. J'avais beau lui dire que je ne saurais sans doute pas les contenter toutes les deux, elle affirmait le contraire. Le samedi j'allais chez elle. Elle n'était pas seile: sa compagne, une rousse flamboyante, était presque nue. Prête déjà à une bonne séance de baise. Les présentation étaient: mon amant, ma maîtresse un baiser sur la bouche suffisait pour mieux nous connaître. J'avoue que cette fille était splendide, avec sa fourrure presque rouge. J'avais déjà envie d'elle. C'est ma voisine qui nous poussait à tirer un coup dans la chambre. Nous étions trois : deux sur le lit et la troisième nous regardant faire. Je ne m'attardais pas trop à peloter cette nouvelle. J'allais directement entre ses cuisses, sur sa chatte. Je lui mettais ma langue sur l'anus. Elle semblait bien aimer. En tout cas elle jouissait. Ma voisine assise à nos coté se branler en nous regardant, elle se penchait pour embrasser sa compagne. Je continuais la promenade de ma langue en lui prenant le clitoris. De sa bouche. Finalement je voulais qu'elle me suce. Je me mettait en 69.Ma surprise état grande, sa fellation était sans doute moins bien faite que par ma voisine, en tout cas je jouissait. Elles partageaient mon sperme deux. Maintenant j'aller assister à leurs amours. J'étais assis sur une chausse en face du lit: je pouvais tout voir. Au début tout ait classique: les baisers étaient les même qu'avec ...
... moi. Les caresses sur les moules ressemblais singulièrement ce que je faisais. Par contre quand au bout d'un court instant elles étaient en 69. Je pouvais voir les langues sucer le sexe de l'autre fille. Elles jouissaient presque ensemble. Au boit d'un instant elles se tournaient pour chanter de coté. A partir de là, elles commençaient à se mettre des doigts dans le cul. Je bandais comme un âne: il fallait que je me branle. MOI non plus sans pudeurs je venais sur elles pour jouir. Je ne pensais jamais que des femmes entre elles pouvaient se donner tant de plaisirs surtout si longtemps et souvent. Elles jouissaient presque sans cesse. Ce n'est que vers la fin qu'elles me demandaient de venir leur donner un autre plaisir: elles s'étaient mises l'une sur l'autre, ventre contre ventre, les jambes écartées: ce qu'elle demandaient était simple; je devais les baiser ensemble: un coup dans l'une un coup dans l'autre. Je faisais l'essai en pendant je n'arriverai jamais à les faire jouir. Et pourtant après une période d'adaptation pour moi, j'arriver à passer d'un con à l'autre. Le plus fort est qu'elles gémissaient toutes les deux. Je les sentais jouir. Je finissais de décharger dans le premier con venu: celui de la rousse qui finalement était très bonne baiseuse, malgré ce que m'en avait dit la voisins. Depuis je baise seul avec la voisine deux fois par semaine et avec notre nouvelle commune amante le samedi.