Il s' appelle Michael, et c'est mon vois
Datte: 26/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Gay
Première fois
... gonflée.Il glapissait de plaisir à m'avaler avec son cul.Je le branlais en jouant avec sa mouille pour lui donner plus de plaisir.J'empoigne sa trique toute glissante bien fermement et active le mouvement de va et vient,jusqu'à sentir son corps se contracter, je sens qu'il va jouir.Je ne pu m'empêcher de porter mon doigt à ma bouche, désireux de découvrir la saveur que peut avoir la sécrétion qui s'y trouvait.J’avais envie de gouter de manière irrésistible, à son majestueux membre une dernière fois,envie de poser mes lèvres épaisses sur ce gland rosé, lisse et doux, envie d’aspirer sa mouille,envie de sentir toute la vigueur de mon jeune cousin dans ma bouche.Mon désir de savourer son jus est le plus fort,au moment même qu'il pousse sa dernière profonde expiration,je me retire d’un coup de sec de ce cul rougis par mes coups de butoir, de cette raie brulante que j’ai limée si fort.J'enfonce son manche dans ma bouche, je m'offre à lui comme réceptacle de son foutre.Rythmé par une longue série de spasmes et de cris de mâle, son jus crémeux se repend en moi, en comblant presque entièrement l'espace restant au fond de ma gorge.Je me régale de son jus, abondant, épais, aigre et doux à la fois.Putain, il vient de m’inonder de son foutre !J’avale alors tout ce qu'il peut m'offrir aussi précieusement qu'un assoiffé perdu dans ...
... le désert boirait de l'eau.Je nettoie ensuite la totalité de sa queue pour ne rien perdre.Je la sens perdre un peu de sa fermeté mais ça m'excite encore.Il s’assoit alors et comme pour me rendre la pareille, il prend mes fesses, il les tient fermement entre ses deux mains.Il rapproche sans ménagement mon sexe vers sa bouche qu’il lape d’un tendre coup de langue, avec tellement de chaleur, tellement de précision dans le mouvement, qu’à mon tour je jouis.Pendant que j’éjacule dans cette bouche de velours, je sens sa douce langue rose laper mon gland qui déverse du sperme sans discontinuer.Mon cousin se relève et m’embrasse avec fougue, me laissant dans la bouche une rasade de mon sperme que j’avale avec empressement, comme une lope, pire que la plus chienne d’entre les chiennes...J’ai déchargé avec tellement de force qu'une giclée a atteint mon menton.Du doigt je ramène à ma bouche la semence plaquée au coin de mon visage, comme pour ne pas gâcher.Le reste gicle sur les draps et les oreillers, mais il glisse sa langue dans mon propre sperme et il en aspire ma semence crémeuse, en me lançant un regard que je n oublierais jamais.Tout comme ce week-end - que je n oublierai jamais.Plusieurs fois, nous nous sommes revus, mais il ne s ‘est plus rien passé.Pas même une petite allusion.C’est - et ça restera à jamais notre secret.