Premier job, diplome en poche (4)
Datte: 10/10/2017,
Catégories:
Transexuels
... le visage couvert de mouille, même mes cils étaient collés tellement Geneviève produisait de la cyprine. Il fallait que je règle mes coups de langue avec les coups de reins de Claude car par moment, ils étaient quand même assez puissants. Mon patron m’écartait les fesses le plus possible, pour essayer d’aller le plus loin possible au fond de moi, maintenant il était en train de faire monter mon plaisir et mon sexe se raidissait toujours plus. Ses commentaires à mon égard étaient toujours plus rabaissants, mais ils m’excitaient quelques soient les propos. Geneviève a fini par prendre son pied bien plus bruyamment que Sophie, bien évidemment je suis resté à jouer avec ma langue encore de longues minutes histoire de l’épuiser définitivement. N’en pouvant plus de mes coups de langue, Geneviève a saisi ma tête pour la sortir d’entre ses jambes, histoire que cela ne devienne pas un supplice. Elle a été un peu plus longue à reprendre les esprits, mais en même temps je pense que la jouissance avait été plus intense. Tout comme Sophie, après avoir repris ses esprits, elle est repartie travailler, j’ai eu le temps de souffler un peu avant qu’Élodie n’arrive pour venir récupérer sa part du festin, pour plus de simplicité elle n’avait pas de culotte sous sa robe longue, par contre l’arrière de sa robe était tout trempé de cyprine. Du coup l’odeur de minou était vraiment très prononcée, elle sentait vraiment la petite fille négligée pour mon plus grand plaisir. C’est en nocturne que ...
... j’ai plongé ma tête sous sa robe longue, pour aller déguster ce qu’elle m’avait gardé. Le goût était plus fort, mais surtout il y avait je pense des glaires de cyprine, que je me suis empressé de déguster. Élodie m’a confesser ne pas s’être lavée le minou depuis deux jours, elle savait qu’aujourd’hui quoi qu’il se passe elle me le donnerait à nettoyer. onzoppae Pendant que je lui butinais sa friandise, ma collègue me caressait les cheveux à travers sa robe très douce, ce qui me faisait beaucoup d’effet. De son côté Claude commençait à respirer profondément et surtout à soupirer bruyamment, c’était les signes annonciateurs une jouissance prochaine. Maintenant je m’interrogeais sur qui d’entre Claude ou Élodie allait jouir le premier, c’est mon patron qui est parti dans mes entrailles en-tête de ce concours intime. J’ai senti au moins six ou sept grosses giclées de semence au fond de moi, je pouvais en conclure qu’il s’était lui aussi retenu ce weekend. En fait j’avais oublié de me compter dans cette course à la jouissance, avec la pression des derniers coups de reins de Claude, j’ai ejaculé de mon côté, bien avant que Élodie se mette à jouir bruyamment sous les coups de langue. Pendant que ma partenaire poussait de grands cris, elle me serrait très fort la tête en la plaquant contre son minou. Bilan de l’opération, j’avais fait jouir mon patron, il m’avait fait éjaculer, j’avais aussi fait jouir trois femmes bien desireuses. J’aurais aimé faire jouir mes quatre autres collègues, ...