La visite médicale
Datte: 27/08/2020,
Catégories:
fh,
médical,
fépilée,
Collègues / Travail
volupté,
noculotte,
Oral
fdanus,
La visite médicale Le téléphone sonna : « Bonjour, je suis bien au service informatique ? — Oui, répondit-il,— Je suis Mme SAMSON, le nouveau médecin du travail, j’ai un petit souci avec mon ordinateur et ma secrétaire m’a suggéré de vous appeler.— Je m’appelle Mel CHERVENTE, je suis responsable du service, quel est votre problème ?— C’est simple, il ne se met pas sous tension.— Bon, je vais venir vous voir, ce sera l’occasion de me présenter. J’arrive.— À tout de suite, merci. » Elle raccrocha en se disant que sa secrétaire avait bien fait de lui donner son numéro d’appel. Elle l’avait aperçu plusieurs fois depuis son arrivée et sa voix était en harmonie avec son physique. Elle eut juste le temps de débrancher légèrement l’unité centrale située sous son bureau. On frappa à la porte : « Entrez, dit-elle ». Il fut surpris de reconnaître la jeune femme qu’il avait croisée plusieurs fois depuis quelques semaines. Il s’était demandé si elle était cliente, visiteuse ou employée. Elle était jeune et son allure élancée ne laissait pas indifférente la gente masculine. Elle se leva, s’avança vers lui et lui tendit la main : « Martine SAMSON, enchantée de vous rencontrer . Il lui serra la main et remarqua que la blouse qu’elle portait, mettait en valeur ses formes. — Je vais essayer de régler votre problème.— C’est par là, lui indiqua-t-elle en montrant l’unité centrale placée sous le bureau ». Elle passa de l’autre côté et s’assit sur une chaise visiteuse. Il prit place à son bureau ...
... et commença à chercher l’origine de la panne. N’arrivant pas à démarrer le matériel, il décida de regarder si les câbles étaient correctement branchés, pour se faire, il fût obligé de se glisser sous le meuble. Dans cette position, il pouvait voir plus que les longues jambes de Mme SAMSON. Elle les croisa et les décroisa lui permettant d’apercevoir, furtivement le tissu blanc qui cachait son entrejambe. Il commença à bander. C’est à ce moment que renfonçant la prise d’alimentation électrique, le bruit de l’ordinateur lui indiqua que la panne était sans doute solutionnée. Il se releva, elle aussi. Il s’assit au bureau, elle était face à lui les mains posées sur le bureau, le buste penché vers l’écran de l’ordinateur. Il avait maintenant une vue sur son décolleté. Son excitation augmenta. « Vous avez trouvé ? demanda-t-elle, — Je crois que oui, mais je préfère le démarrer complètement. Tout en parlant ses yeux ne quittaient pas l’écran pour ne pas replonger dans la blouse qui lui paraissait de plus en plus ouverte. » C’est au moment où elle contourna le bureau qu’on frappa à sa porte : « Entrez ! », la secrétaire passa la tête par la porte et lui fit signe qu’elle voulait lui parler. Elle sortit la rejoindre. Quand elle fut de retour, il avait fini. Elle le remercia et s’excusa mais on la demandait en urgence à la direction. C’est là qu’il remarqua que sa blouse était de nouveau correctement boutonnée. Il la salua. En sortant, Monique la secrétaire l’interpella et lui rappela ...