1. Christine revélée


    Datte: 27/08/2020, Catégories: h, fh, cocus, copains, fépilée, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation sm, BDSM / Fétichisme fouetfesse, piquepince, init,

    ... fait enfler ma queue… Je la sens vibrer dans mon boxer noir, s’étirer… — Une fessée n’a pas pour vocation de faire mouiller, Chris ! C’est une punition… Visiblement tu es à l’âge où celle-ci doit être plus sévère !! Un coup d’œil à la remise pour en faire un bref état des lieux… Là, tout prés, des tas de branchages fraîchement coupés, avec de longues et fines ramures lisses et souples : idéal. Et en sus, les deux cordes à linges égrainées de pinces multicolores… Parfait, parfait !!! Je tends le bras, me saisis de quelques pinces… Chris me regarde par en-dessous avec de grands yeux et une mine de chien battu, le menton encore baissé… J’approche, lui saisis le bord de la jupe pour, de deux pinces placées au niveau des hanches, la lui maintenir relevée… J’en profite pour regarder son sexe. J’en reconnais les lèvres saillantes, qu’elle n’avait pourtant pas lisses à l’époque. J’y pose la main, elle s’ouvre pour se laisser toucher. — Relève le tee-shirt ! Elle le relève, ses seins accrochent le rebord du vêtement, se relèvent un peu avant de céder sous leur poids et reprendre leur place en un léger balancement délicieux… Je saisis ses pointes entre les doigts, et les lui roule un moment, étirant simultanément ses aréoles qui se fripent effrontément, tendant ses tétons qui se durcissent sous l’action de mes phalanges. Prenant une pince, je l’approche de son sein. Elle arrête de respirer, le regard fixé sur cette main qui va lui infliger la pression ferme à laquelle elle aspire et ...
    ... qu’elle redoute tout à la fois… Je laisse les mors de la pince se refermer lentement sur les bords extérieurs de l’aréole turgescente… Elle murmure un « Mmmmhhh » qui s’échappe de ses lèvres, en plissant les yeux, en tordant légèrement sa bouche, mais conserve ses mains où elles se trouvent. L’autre téton subit le même sort. Je fixe enfin deux nouvelles pinces pour maintenir le tissu au niveau des clavicules, de façon à libérer ses mains. Un bref regard au rétro m’apprend que Jean s’est juste un peu hissé pour mieux voir, il me semble qu’il est rouge. Un petit mouvement rythmique, signe qu’il agite une main quelque part, fait remuer de façon saccadée sa tête de droite à gauche. Je me déplace à l’opposé, à la recherche d’une fine tige flexible, dans le fagot entreposé contre le muret. L’élagage étant récent, elles ont gardé la souplesse de jeunes branches vertes. Je brise l’une d’elles pour n’en garder qu’une longueur d’un bon mètre, me rapproche de Chris, qui n’ose souffler mot. J’insère la flinguette improvisée entre ses jambes, la fait remonter en frôlant l’intérieur de sa cuisse jusqu’à buter contre son sexe. Mouvement de poignet vers le haut pour y imprimer une pression, je ne regarde même pas si la fine tige s’est incrustée entres ses lèvres ou si elle est calée entre la jambe et la fente, je la regarde dans les yeux. — Pas… Pas là, Monsieur ?? me demande-t-elle d’un regard suppliant…— Non, Chris, pas là… Je tire lentement l’instrument à moi, lui imposant un mouvement de ...