1. Ma sœur Faten. (4)


    Datte: 27/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... fort heureusement, que Faten portait encore sa robe. « Ah, tu es là, je te cherchais ! – Je vais bien, maman ! – Alors, bonne nuit ! » Et elle se leva vite et sortit de ma chambre sans se tourner et en refermant doucement la porte derrière elle. Après 5 minutes, elle était dans ma chambre, s’allongea une nouvelle fois à côté de moi, me serra très fort et je lui demandais : « Je peux te poser une question ? – Ben oui, vas-y ! – Maman, tu crois qu’elle se doute ? – Pfff, maman !! C’est la pire de toutes... ! » Me dit-elle et elle recommença à me branler. J’ai eu un recul, elle m’avait fait un peu mal. « Ne te moque pas de moi, me dit-elle, je suis mariée, mais je n’ai aucune expérience sexuelle ! ... Je t’avoue un secret, puisque c’est ainsi, ma relation sexuelle avec mon mari se limite à moins de 30 secondes ! ... Satisfait, il se lève sans prendre la peine de regarder derrière et, surtout, ce qui me désole, il n’a jamais ménagé mes sentiments ! ... Nous faisons l’amour une fois tous les 2 mois ! » Nous avons fait l’amour comme il se doit, puis elle a quitté la chambre. Le lendemain matin, je me levai avec une belle gueule de bois, essayant, tant bien que mal, de rassembler tous mes souvenirs. Tout était calme, alors je me rendis aux toilettes, vêtu d’un simple caleçon long. La lumière était allumée, alors je demandai : « Qui est dans la salle de bain ? – C’est moi, Faten, je me suis fait couler un bain, j’avais trop mal au crâne ! – OK !! – Mais toi, tu peux me rejoindre, ...
    ... la porte n’est pas fermée !! ? » Je poussai la porte, elle était penchée, me donnant de dos, elle se lavait les cheveux. Je n’ai pas pu m’empêcher de poser mes mains sur son derrière et pousser ma langue vers sa chatte. « Arrête, ce n’est pas le moment, tu n’es pas satisfait ? – De toi, jamais ! – Nous nous aimerons en enfer ! – Nous n’irons pas en enfer ! Tout en lui parlant, j’avais mon sexe qui frottait sa chatte, je commençai à lui bourrer la chatte, lentement. – Non, pas là..., là... ! En me montrant la chatte, pas à l’intérieur, à partir d’aujourd’hui, je risque de tomber enceinte ! » Et je n’ai pas pu m’empêcher de lui vider mes couilles dans l’anus. Elle a fortement apprécié. Nous avons pris une douche ensemble et comme deux amoureux, je l’ai portée dans mes bras jusqu’au lit et nous avons, encore une fois, fait l’amour. « Je peux savoir qui t’a poussée à me désirer ? – C’est toi ou moi qui avait commencé ? » Me répondit-elle. J’avais complètement oublié l’histoire du taxi. Je lui explique que c’était un accident et que c’était la fille qui était visée. « Oui, me dit-elle, mais ton truc, "poussait et tapait" dans mon cul, pas dans le sien ! ... Donc, ce qui n’était qu’un accident, était pour toi la solution à ton problème ! – Oui, mais je ne te voulais pas réveillée, je te voulais endormie, une statuette, un mannequin où je pourrais librement satisfaire mon appétit sexuel sans que tu sois consciente ! ... Je ne te comprends pas, pourquoi tu n’as pas pris un amant ? – ...