1. Le piège 4: Et les gagnants du loto sont: ( revu et corrigé)


    Datte: 27/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et puis tu n'es pas mal non plus comme mec, il faut le dire. » « Bon, qu'est-ce qu'on fait ? On rentre ? » Nous restons là, interdit lorsque soudain Fabienne dit » j'ai une idée », elle se lève et prend son téléphone. « Allo maman, ouais, on est chez vous, on voulait faire une surprise à papa mais il est là, tu ne peux pas l'occuper 1 heure le temps qu'on finisse la surprise ? Ok, bon ben merci et à demain » et elle raccroche. Je me lève et me rend près d'elle, nous nous regardons, je veux la toucher à nouveau mais elle fait non de la tête et me fait chut avec son doigt. On entend en bas un téléphone sonné, son père qui parles indistinctement pendant trente secondes puis le silence. « Fabienne !! Ta mère qui est payée pour me faire chier à soit-disant besoin de moi au marché, je m'en vais. Tu fermeras la porte derrière toi ? » « Ok paps à plus » « Au revoir monsieur » La porte se flanque et le silence envahit la maison. Nous nous regardons tous les deux ne sachant que faire, et c'est Fabienne qui fait le premier pas en me prenant la main et me dit « viens « et m'emmène sur son lit. Elle se jette dessus plus qu'elle ne s'y allonge, je m'allonge sur elle et commence tout de suite à l'embrasser à pleine bouche comme j'en avais toujours rêvé. Mes mains ne tardent pas à s'égarer sur son corps magnifique, ses seins sont énormes avec des aréoles très brunes. Je les avait souvent observés pendant nos vacances communes mais je n'avais jamais imaginé les toucher et là, j'étais en ...
    ... train de les pétrir au travers de son chemisier. «Tu veux que je me déshabille ? » me dit-elle. « Non, laisses moi faire s'il te plait« Je continuai donc à lui malaxer les seins puis petit à petit je détachai son chemisier. Celui-ci dégrafé, j'arrachai presque son soutien-gorge pour découvrir ses magnifiques tétons très larges et presque noires. Je les pris dans ma bouche, ils se dressèrent aussitôt, magnifiques. Ces bruits de succion, ses légers gémissements me mirent dans un état presque second.. Fabienne écarta ses jambes et m'ordonna « baises moi maintenant » Avec difficulté, je lui dis « non, attends j'ai envie de t'admirer »lui dis-je en m'écartant d'elle. Bizarrement, elle fut aussitôt gênée de ma demande et couvrit ses seins. « Arrête, tu es trop belle. Ais confiance en toi, tu es superbe, il n'y a rien à enlever . Lèves toi et restes face à moi. Allez, lèves toi, s'il te plait, cela fait tellement longtemps que j'ai envie de te regarder sans être gêné par le temps ou par quelqu'un. » Le tableau était extraordinaire, je pouvais admirer, sans m'en cacher, une magnifique femme. Elle était face à moi, ses seins nus et pointés. Fabienne compris mon envie et se mis en position d'être regardée. Je pouvais la voir à moins d'un mètre de moi. Ses tétons étaient dressées, ses jambes musclées saillaient grâce aux escarpins sur lesquelles elle était juchée. Comme d'habitude un maquillage discret avait réhaussé la beauté de ses yeux et de son visage. « Tournes toi s’il te plaît, j'ai ...
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