1. Le temps d'une cigarette


    Datte: 28/08/2020, Catégories: fh, extracon, inconnu, boitenuit, vengeance, dispute, Masturbation Oral confession,

    ... comprendrais. Mais, là ? Un mec au hasard ! Pour te venger ? C’est absurde ! — Karine, qu’y a-t-il ? Tu te rhabilles ? s’affole-t-il en rentrant dans la chambre alors que je renfile ma petite culotte. Il est tout décontenancé. Il ne comprend pas. Il croyait avoir tiré la queue du Mickey. — Excuse-moi, je n’ai plus envie. Tu n’y es pour rien.— Mais tu es la reine des allumeuses ! s’insurge-t-il. Tu penses partir comme ça ?— Tu comptes me violer ?— Je pourrais. Quel juge pourrait croire que tu n’es pas consentante en venant chez moi, seule, à trois heures du matin ? Heureusement pour toi, ce n’est pas mon style. J’aimerais juste comprendre. Je déballe tout. Il compatit. Il a été cocu lui aussi. Il tente de me réconforter comme il peut, me raisonne, dédramatise, m’apporte des mouchoirs en papier. — Tu me laisses partir maintenant ? tenté-je après avoir essuyé mes larmes et mouché mon nez.— Tu es libre, mais tu te démerdes pour rentrer.— Je peux appeler un taxi ?— À cette heure-ci et dans cette banlieue ? Tu rêves. Si cela te chante, tu peux attendre le premier RER à un quart d’heure de marche en traversant la cité. En pleine nuit, je ne te le conseille pas.— Je ne peux pas rester ici, dans un coin ?— Mes amis vont arriver. C’est à tes risques et périls, ils sont moins gentils que moi.— Ceux de la boîte de nuit ?— Oui. Ils viennent tenter leur chance. Une fille qui aime baiser peut contenter facilement deux mecs de plus. Si tu veux garder ton cul pour ton mari, fais-moi une ...
    ... pipe. Tu as juste le temps. Coincée ! Est-ce vrai que ses deux copains arrivent pour me baiser ? Je ne tiens pas à le savoir. — Je ne te demande pas la lune, insiste-t-il. Tu m’as allumé toute la soirée, c’est normal que je te demande ça. Ton mari ne va pas en mourir. Après je te raccompagne. Promis. Chéri, pardonne-moi. Avec ma petite culotte en guise de protection, je m’agenouille à ses pieds. Je referme une main timide sur un pénis tout flasque qui ne tarde pas à durcir et à pointer verticalement sous l’effet de ma douce caresse. J’aimerais raconter que j’ai affaire à un sexe taille XXL, une grosse andouillette de vingt centimètres de long, mais ce n’est pas le cas. C’est plutôt l’inverse. Taille inférieure à la moyenne, en tout cas bien inférieure à celle de mon chéri. Il en faut. Comme étalon, j’avais tout faux, songé-je amusée. Pressée d’en finir, je mets la gomme. La pression de ma main se fait plus ferme. Mon poignet monte et descend énergiquement. À ce train-là, il ne devrait pas tenir longtemps. Ce n’est pas du goût de son propriétaire. — Je t’ai demandé une pipe, pas une branlette, proteste-t-il. Je me résous à le prendre en bouche. Je me souviens à temps qu’une MST peut très bien s’attraper de la sorte. J’attrape la boîte de préservatifs, j’en sors un. Je déchire l’emballage. Il sent la fraise ! Il achète n’importe quoi ce type ! D’une main je m’empare de sa hampe, de l’autre je pose la capote sur son gland. Je me penche sur son sexe avec l’intention de la dérouler ...
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