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Inspecteur Manuel
Datte: 10/10/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
Je vais vous conter l'histoire d'un flic peu ordinaire. Commencé comme inspecteur à la brigade des moeurs, passé à la brigade de répression du proxéntisme. Plus spécialement chargé des enquêtes de moeurs ou sont impliqués des homosexuels. Il a attiré l'attention de ces supérieurs pour avoir démantelé un réseau de riches pédophiles. Après quelques mois de repos forcés pour se refaire une santé dans sa ferme du coté de Mende en Lozère, il est rentré au travail. Ses supérieurs au courant de ses moeurs dissolus mais réglos d'homosexuel dominant, lui ont laissé un dossier a étudier et résoudre, lui faisant miroiter un avancement rapide. Il a suite a son précédent succès un bureau à lui dan l'open space plus pratique quand il s'agit de partager des informations. Tous ses collègues sont au courant de sa vie et de ses amours particuliers plutôt vache mais en voient tellement qu'ils aiment les gens francs. Il est allé faire un tour à son ancien appartement ou rien n'avait changé. La forte odeur de renfermé mise à part. On sentait malgré tout encore une odeur de sexe après ces 3 mois passés à l'écart. Il a tout ouvert pour chasser l'odeur de renfermé et s'est rapidement dessapé avant de lire le courrier reçu. Il y en avait étonnamment peu, la publicité étant blouée par le gardien qui passait une fois par jour , ne laissant que les lettres personnelles. Il avait posé le dossier du bureau sur une table basse et allongé nu, a commencé à en prendre connaissance. Plusieurs pages ...
... agraphées entre elles avec des photos et plusieurs dossiers. J'ai commencé par les photos du premier dossier. Noir et blanc pour la plupart montrant des images révoltantes pour qui n'était pas formé à tout voir. Un mec , nu totalement, de dos, penché en avant, prépuce retenu en arrière par des pinces crocodiles, cuisses grande ouvertes et donc anus bien visible, maintenu ouvert par un écarteur. Sur la photo suivante Il était de face avec un écarteur de dentiste qui lui maintenait la bouche grande ouverte et cette fois plus bas, une cage coinçait son sexe tenu rabougri. Je connaissais cette cage pour l'avoir fait porter à une de mes salopes et une tige rentrait dans l'urêtre. Celle ci était creuse et il n pouvait pas retenir ce qui en coulait. Enfin sur son ventre lisse et surement épilé on voyait un numéro qui devait correspondre à son nom mais je ne pense pas que ce n'était que ça. Son visage était de type slave, et sur une petite photo couleur on voyait ses yeux vert et la blondeur de ses cheveux. Même ainsi et le sachant devenu esclave sexuel exploité par un groupe il me faisait bander. Au dos de la petite photo, juste un prénom. Sacha. Je me suis attaqué au dossier, finalement assez bref. Il avait été plusieurs fois ramassé dans des partouzes organisées sans qu'on ne puisse savoir qui l'engageait , mais toujours dans des situations assez délirantes pour lui. Les lieux indiqués de la rafle était pratiquement toujours des usines ou entrepôts de banlieue et les participants tous ...