Rose et le quiproquo
Datte: 28/08/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
amour,
Oral
pénétratio,
init,
mélo,
... pour toi est plus profond et plus solide, mais j’en bave quand même.— Viens manger, on va penser à tout ça tranquillement. Nous avons beaucoup discuté, elle m’a rassuré sur nous, notre couple et l’amour qu’elle me porte. Le soir, dans notre lit, serrés l’un contre l’autre, je lui ai posé la question qui me perturbait depuis le début de soirée. — Si tu continuais à le voir, est-ce que tu ne risquerais pas de finir par l’aimer plus que moi et de vouloir me quitter pour lui ?— Tu sais, Jean, je ne l’aime pas comme je t’aime toi. Je suis heureuse que tu ne veuilles pas me quitter après ce que j’ai fait. Finalement, toi tu as juste fait une mauvaise blague, mais moi j’ai couché avec lui. C’est quand même vachement plus impliquant !— Comment je pourrais être sûr que notre couple ne risque rien si je te laissais continuer à le voir ?— Quoi ? Tu te rends compte de ce que tu dis ? Tu parles de m’autoriser à te tromper ?— Tu ne me tromperais pas, puisque je serais d’accord. Ce qui me retient, c’est l’avenir, la peur de te perdre. Je t’aime plus que tout au monde, je suis même prêt à te partager avec Marc si ça te fait trop souffrir de ne plus le voir. Je ne veux pas que tu sois malheureuse.— Je suis bluffée. Jamais je n’aurais imaginé… Mais de toute façon, à part l’amour que j’ai pour toi, je ne peux donner aucune garantie sur notre vie future. Je t’aime, c’est tout. Elle tremblait dans mes bras, collée dos à moi de tout son long et dans la pénombre de notre chambre, je distinguai la ...
... courbe de son cou sur lequel je posai mes lèvres. — Je te fais confiance. Va chez lui de temps en temps, pas trop souvent s’il te plaît, mais reviens-moi toujours. Je serai toujours là pour toi, je t’attendrai. Elle se détacha de moi en faisant un saut de carpe, elle pleurait et riait en même temps, se jeta sur moi et m’embrassa avec un enthousiasme incroyable. Je sentis sa langue violer ma bouche, avec un goût de larmes et de salive que j’ai adoré. — Tu es un homme fantastique. Je t’aime et tu me rends heureuse.— Tu te rends compte que ton attitude m’inquiète un peu ? Tu es si contente de pouvoir le retrouver ? Je ne te suffisais vraiment plus ?— Mon chéri, avant de connaître Marc, tu me suffisais tout à fait. Le problème, c’est que j’ai eu un coup de cœur pour lui et ça aurait été très dur de ne plus le voir. Oh, comme je suis heureuse ! Merci mon amour.— Maintenant qu’on est d’accord, je veux savoir comment s’est passé votre première fois et pourquoi tu ne m’en as pas parlé tout de suite ? Rose se rallongea sur le côté contre mon flanc. Elle posa sa tête sur mon épaule. — Je n’ai pas osé. J’ai manqué de confiance, j’étais déboussolée. En plus, ça ne s’était pas vraiment bien passé et je voulais récupérer un peu.— Pas bien passé, comment ça ?— Eh bien, il a été charmant, vraiment. Après l’averse qu’on avait reçue en ville, on était trempés comme des soupes. En arrivant chez lui, on s’est déshabillés et on s’est retrouvés en sous-vêtements tous les deux. J’étais gênée, je ...