1. Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 9 - elles m'emmènent en club


    Datte: 28/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... m’enivre de son nectar et de ce qu’elle me fait faire. Pendant ce temps elle s’est penchée en avant et entame une fellation sur cette belle queue qu’elle vient de découvrir. Le mâle grogne de contentement. Je fais monter son plaisir sans aller au bout, je sais qu’elle aime cela, je veux aussi qu’elle puisse apprécier cette bonne bite dans sa bouche. Elle pompe avidement, je l’entends au dessus de moi. A côté de moi le gars qui s’est mis avec Béa est à genoux et la lèche. Elle s’est avancée au bord du tabouret, cuisses ouvertes, yeux mi clos, sa coupe aux lèvres. Sa robe est remontée à la taille, ses seins sont à l’air. Avec sa main libre elle m’attrape la tête, et me pousse sur le minou de mon épouse. Ma bouche se perd dans le sexe béant, la mouille coule sans arrêt, je la déguste avec délectation. La soirée commence super, je suis bien dans mon rôle de soumis cocu. Le gars appuie sur la tête de maîtresse et la pousse bien profond sur sa verge. Maîtresse tressaille de plaisir, j’accélère ma succion et mes coups de langue. Je sens son bassin effectuer de violentes poussées vers mon visage, elle lâche la queue qu’elle était en train de sucer pour manifester son orgasme par de petits cris stridents. A côté, Béa explose en même temps dans la bouche de son amant et le dit tout fort. Les femmes s’apaisent et se dégagent, je peux apercevoir une petite assemblée autour de nous, les gens sourient, des queues et des chattes sont visibles un peu partout autour de moi qui suis toujours ...
    ... à genoux. Ça se branle allègrement. Béa se lève, prend son amant par la queue, en quête d’un endroit plus confortable. Maîtresse lui emboîte le pas, tenant également la queue de son mâle d’une main, tirant ma laisse de l’autre. Maladroitement je me relève et je les suis. Au passage on me tâte le cul ou je prends des claques sur mes fesses de soumis. Ça me plaît. Béa a déniché une alcôve libre. La lumière est tamisée, les murs tendus de tissu noir, la plus grande partie de la pièce est occupée par un immense lit recouvert d’une espèce de cuir rouge. Sur des étagères il y a des draps de bain, des corbeilles avec des préservatifs, du gel à disposition. Maîtresse me fait signe de me coucher au milieu du lit, sur le dos. Je fais comme je peux, étant privé de l’usage de mes mains et de mes bras. Elle se colle à son gus, lui enlève son boxer et se met toute nue aussi. Béa et son mâle en font autant. Ils montent tous les quatre sur le lit, je suis couché au milieu. Béa, à genoux, suce la belle bite qu’on lui tend ; ma chérie s’assied sur mon visage et me donne sa chatte à lécher pendant qu’elle pompe son mec debout devant elle. On n’entend plus que les bruits de succion et des gémissements de plaisir. Je bois la mouille qui coule sans arrêt du sexe de maîtresse. Elle se couche à côté de moi, relève ses cuisses et se fait prendre en missionnaire en soupirant de bonheur. Béa, dans la même position, se fait bien pilonner aussi. De temps en temps les mains des femmes se perdent sur mon ...
«12...456...16»