Raoul
Datte: 29/08/2020,
Catégories:
ffh,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
fsodo,
humour,
sf,
... l’attention de Gufti-Juliette : — Dès que Gufti aura surmonté son impuissance passagère, nous inverserons les rôles que nous tenions dans l’expérience précédente.— Je vais t’en foutre, moi, des impuissances passagères ! Pour l’instant, on arrête de baiser et on boit un coup !— Je trouve que vous buvez beaucoup, Gufti… dit sobrement Gufti-Juliette.— Non mais j’hallucine ! On dirait ma mère ! Et comme en réponse immédiate, le téléphone sonna de nouveau. — À mon tour ! s’exclama Gufti-Éloïse en se précipitant pour se saisir du combiné.— Ah non merde ! hurlai-je en courant derrière elle (enfin, derrière lui…) Je parvins quand même à décrocher avant mon clone et m’éloignai quelque peu pour répondre. C’était encore Raoul. — T’es là ? commença-t-il d’une voix curieuse.— Ben non, en fait je suis au pôle Nord, mais j’ai fait un transfert d’appel…— Déconne pas, j’ai l’impression qu’il se passe des trucs étranges.— Honnêtement, si t’étais chez moi tout de suite, je pense que tu relativiserais…— J’sais pas trop… Il paraissait inquiet. J’attendais qu’il poursuive, mais il dit simplement : — Écoute, le mieux c’est que je passe. Tu bouges pas, j’arrive !— Si c’est tout ce que t’as trouvé pour venir te taper l’incruste, c’est vraiment moyen…— Non, c’est sérieux, je te dis. Je suis là dans cinq minutes. D’ici là, n’ouvre à personne. Et il raccrocha. — Mais il est complètement barré ! m’écriai-je en reposant le combiné sur sa base. En revenant vers le salon, je poursuivis : — Si vous ...
... voulez en voir un qu’a trop picolé, les filles… Mais je m’arrêtai en les voyant, puis me repris : — … enfin, les gars… Leurs sexes toujours un peu gonflés, ils me regardaient sans comprendre. — Oh ! Laissez tomber ! continuai-je. Bon, écoutez-moi très attentivement. J’ai un ami qui va arriver d’un instant à l’autre…— Raoul ? Celui à qui j’ai parlé à distance ?— Oui, je ne sais pas bien ce qu’il a, mais il veut absolument me voir tout de suite.— Mais c’est formidable ! devisa Gufti-Éloïse. Sans chercher à comprendre le sens de son interjection, je poursuivis : — Il ne doit absolument pas deviner votre véritable nature.— Pourquoi ?— C’est comme ça ! Pour l’instant, il n’y a que moi qui dois savoir ! Alors, vous devez vous comporter en parfaits humains ! Enfin, en parfaites humaines, pour être précis. D’abord vous allez reprendre vos apparences d’Éloïse et Juliette. Ensuite, vous devrez vous comporter comme cet après-midi. Enfin, non, pas comme cet après-midi… Bien mieux que ça, en fait ! Comme j’aurais souhaité que vous le fassiez, disons, comme si on était en public, vous comprenez ? On se retient de baiser, on ne parle pas de cul à tout bout de champ, et cætera. Y aura pas longtemps à tenir ; je vais faire mon possible pour le foutre à la porte vite fait. Mes deux clones buvaient mes paroles en me regardant, paraissant mi-déçus mi-amusés. Je claquai des doigts pour leur faire comprendre qu’il fallait maintenant se remuer : — Allez, vite ! Il va pas tarder ! Leurs deux corps se ...