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Sophie bourgeoise racoleuse zoophile (1)
Datte: 11/10/2017, Catégories: Zoophilie,
... et de l’eau chaude. J’ai volontairement oublié le sucre... Je fais le service debout face à elle, je vois distinctement qu’elle ne porte pas de culotte non plus. Ca y est je mouille et je décide de passer à l’action ! Prétextant avoir oublié le sucre je retourne en cuisine avec mon chien qui m’emboîte le pas. Rapidement je baisse mon pantalon pour qu’il me lèche un peu la chatte, sa langue est un régal ! Je le branle pour faire ressortir son énorme bite et du doigt je lui ordonne de retourner au salon. — Julie, je n’ai plus de sucre je vais au garage j’arrive j’en ai pour 30 secondes ! — D’accord ! Je sors et je me mets à la fenêtre derrière elle. Julie ne peut pas me voir mais moi je vois bien ce qui se passe. Kaiser en bon chien s’en va mendier une caresse, je vois sa grosse queue pendre sous son ventre. Julie lui caresse la tête, puis le flan. Je la vois se pencher, elle regarde sûrement cette bite. Sa main s’en approche mais elle n’ose pas aller loin. Le chien lui glisse son museau entre ses cuisses, je connais mon chien il fait cela parce qu’elle mouille et il le sent. C’est le bon moment pour revenir. — Voilà le sucre ! Laisse Julie tranquille toi ! Je regarde, en essayant de paraître surprise, le sexe du chien. — Eh bien décidément, d’habitude il ne se met dans cet état qu’en présence d’une chienne en chaleur... Julie rouge écarlate ne répond rien, je sens de la détresse dans ses yeux. — C’est toi qui le mets dans cet état ? On se tutoie hein ? Au point où nous en ...
... sommes. Elle ne répond toujours rien. Le chien tente de glisser à nouveau son museau entre ses cuisses. Elle se détourne en orientant ses cuisses différemment. — Ah bah si tu ne mets pas de culotte forcément que cela le travaille ! Ils ont l’odorat bien plus développé que nos hommes. D’ailleurs si le tien avait eu plus de flair il aurait été à l’heure. Elle est pivoine, se gêne est mon plaisir, une vulnérabilité que je vais m’empresser d’exploiter ! — Je suis désolée... — De quoi (je la coupe avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit d’autre) ? De ne pas porter de culotte ? Je n’en ai pas non plus ! De faire bander mon chien ? Prends-le comme un compliment ! De mouiller ? Je te comprends... — Je ne mouille pas ! — Est-ce qu’il faut que je vienne vérifier ? Pour qu’il pose sa truffe comme ça entre tes cuisses tu dois être trempée... je le connais ! J’accompagne cette dernière remarque d’un clin d’œil et elle comprend alors qu’elle a été piégée... — Ecarte un peu tes cuisses ! — Non je ne veux pas... — Aller montre moi ton abricot ma belle. Je me lève, passe la main sur l’intérieur de sa cuisse et l’écarte d’une légère pression. Il n’en faut pas plus pour que Kaiser se glisse entre direction de son sexe. — Non s’il vous plaît... — N’aie pas peur, tu me remercieras ! Elle fait non de la tête, mais sans aucune action de ma part ses cuisses s’écartent. Et je vois dans ses yeux que la truffe fraîche du chien vient d’entrer en contact avec son intimité. — Laisse-le faire il a ...