1. Du beurre dans les épinards


    Datte: 30/08/2020, Catégories: fh, hplusag, hagé, prost, Collègues / Travail soubrette, Oral pénétratio,

    ... conscience de ce que je m’apprêtais à faire. J’avais été naïve sur ce coup-là, en pensant que nos rapports se limiteraient à quelques attouchements et qu’il s’en contenterait. Mais lui désirait beaucoup plus, il désirait la totale. Il voulait se payer une pute à domicile et c’était bien ce que j’allais devenir. Alors, j’y vais ou je n’y vais pas ? Après tout, maintenant que j’en étais là et que cet argent me tendait les bras… Et puis j’avais tellement envie de cette petite robe ! Ma décision était prise et il suffisait de sauter le pas. Lorsqu’il revint, il bandait dur et droit. Pour son âge, il était incroyablement viril. Il l’était même plus que mon mari. Il enfila alors un préservatif : — Allez, viens, ma belle. Il est temps de me montrer tous tes talents. J’ai envie d’abord que tu me suces le dard ! Je vins docilement m’agenouiller devant lui et restai un instant pétrifiée, comme hypnotisée par ce sexe volumineux et obèse que je saisis doucement entre mes doigts graciles. La texture de sa peau était douce et agréable, les grosses veines saillantes particulièrement excitantes. Il ne me fallut pas longtemps pour me jeter sur ce sexe, comme une affamée, et je l’engloutis prestement avec un appétit non feint. Je n’avais vraiment pas l’impression de me prostituer, car j’avais vraiment très envie de cette queue, je pris beaucoup de plaisir à la sucer. Même le contact rugueux de ses mains rêches et ridées sur ma poitrine ne me semblait pas désagréable. Mieux, j’étais ...
    ... incroyablement excitée, je sentais mon entrejambe s’humidifier à vitesse grand V. La verge de cet homme me faisait baver d’envie, alors même que c’était souvent à contrecœur que je suçais celle de mon mari. Je me reconnaissais à peine dans ce désir salace. Il me retourna bientôt sur le canapé et me prit sans ménagement, en levrette, en me traitant de petite catin. Il me baisa ainsi un long moment, avec force et violence, il semblait inépuisable et finit même par me faire jouir : comble du comble, une gourgandine qui prend plaisir avec son client ! Finalement, il se retira et se termina dans ma bouche avec la même violence. Je manquai même de m’étrangler. Vidé et repus, il s’affala enfin dans son fauteuil et me laissa vaquer à mes occupations. Je décidai de préparer son repas en tenue d’Ève, poussant le vice jusqu’à me retourner de temps à autre pour voir s’il me matait toujours, ce qu’il ne manquait d’ailleurs pas de faire. Ce jour-là, c’est avec un petit pécule que je repartis heureuse de chez mon petit papi. Il s’était vraiment montré très généreux. Tout ça pour avoir pris mon pied, c’était vraiment trop génial. Je pris rapidement goût à cet argent facile. Vendre son corps était finalement assez aisé. Les semaines qui suivirent, j’ai souvent recommencé. Mon client était satisfait de mes prestations. Et quelle vitalité ! Il me baisait tout le temps avec force et ne débandait pas. Il réclama mon cul, je lui offris mon cul et, quelques jeux "uro" plus loin, j’acceptai même d’être ...