Dérhumage
Datte: 30/08/2020,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
bain,
collection,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
occasion,
... d’observer, d’entendre, de percevoir au plus profond d’elle-même ce qui se tramait dans les allées, elle commença à se déshabiller. Il fit de même et la laissa le contempler longuement. Puis elle s’anima à nouveau. — Maintenant, parle, parle-moi de toi, de nous. Si ce que tu m’offres me touche, je m’approcherai. Sinon, il faudra prendre le temps de nous simplifier encore plus, avant de mieux nous découvrir. Tu n’as pas peur ?— Je suis terrifié, mais tu m’es déjà trop précieuse pour abandonner. Il paraît que ça peut se travailler. À deux, notamment… Alors il commença à s’offrir à elle, déposant sur le marbre froid des tombes tout ce qui devait retourner dans le royaume des morts. Il parla longuement, sans tricher, sans enjoliver, exprimant, souvent avec hésitation, ce qui pesait sur son cœur et son âme. Puis, une fois explorés les décombres de sa vie, il évoqua les rayons de lumière, les sons plus joyeux, les battements désordonnés du cœur, les espoirs et les bonheurs possibles. À chacun de ces cadeaux elle répondit par un pas dans sa direction. Il s’approcha d’elle au même rythme jusqu’à ce qu’ils se touchent enfin, au milieu d’une allée du cimetière. Elle tendit la main pour caresser sa poitrine. Il la prit entre ses bras. Toute distance abolie entre eux, ils purent enfin s’abandonner à la force de leur désir. Lorsque leurs caresses les poussèrent à s’allonger pour mieux se mélanger, ils se couchèrent sur un petit carré d’herbe, prévu pour recevoir une tombe, une fois, ...
... prochainement. Ce que n’importe qui pourrait considérer comme un geste impie, un sacrilège intolérable, ils le vivaient comme une formidable explosion de vie, un colossal pied de nez à la mort. Laissant sous le sol ce qui ne participait plus au bouillonnement de la vie, et qui serait dans quelque temps dispersé aux quatre vents par une pelleteuse sans scrupules, ils célébrèrent en plein air la formidable puissance de la vie. Elle s’ouvrit à lui, l’attirant de toutes ses forces au plus profond de sa féminité. Il s’y enfonça d’un coup de reins, sans cesser de contempler son visage. Les poumons remplis des enivrantes senteurs des fleurs qui décoraient les tombes, ils s’offrirent un tonitruant éclat de rire sensuel, célébrant à haute, très haute voix par moment même, l’indomptable puissance de la vie et du plaisir sur le passé douloureux et la mort. Ils firent longuement l’amour, en se délectant de découvrir ensemble les caresses, les positions, les pénétrations les plus folles. À chaque nouvelle explosion de leur feu d’artifice, Ariane retrouvait en lui quelques gestes, quelques attitudes, quelques impatiences de l’un ou l’autre des hommes qu’elle avait rencontrés au cours de la semaine. Il se montra tour à tour généreusement égoïste, comme l’avait été l’informaticien remplaçant, tendrement attentif, à l’instar du fleuriste, délicieusement timide au moment où elle désira de toutes ses forces être possédée par son impérieuse virilité. Elle ressentit même en lui, mais sans crainte ...