Banquière perverse (3)
Datte: 31/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... admirer le spectacle. Devant moi, se déroule un spectacle hors du commun ; Gladice à quatre pattes, les cuisses grande ouvertes, m’expose sans pudeur la totalité de son intimité. Sa vulve toute rose encore ouverte par ma pénétration dégouline de son jus brillant, j’ai envie de me précipiter pour le boire. Et son trou du cul qui vu sa forme, n’est certainement plus vierge depuis longtemps ; je bouge un peu. — Issam ! Ne bouge pas, si c’est le cul de Gladice que tu veux ; il est pour moi. Cette phrase, c’est Madame qui vient de la dire. Elle a ouvert son peignoir et se caresse la chatte avec frénésie. Mon fantasme me revient et je tente alors le tout pour le tout. — Madame, je vous en prie ; laissez-moi vous lécher et boire votre jus. — Espèce d’impertinent personnage, tu crois m’amadouer avec ce genre de demande ? — S’il vous plait, Madame ; en échange, demandez moi ce que vous voulez, je le ferai avec plaisir. — Ah, oui ! Et bien soit, viens me lécher ; mais sans les mains uniquement avec ta langue. J’espère pour toi qu’elle est assez longue pour me faire jouir, car autrement il t’en cuira. — Merci, Madame. — Ne me remercie pas trop vite car je ne suis pas certaine que ce que tu vas subir après te plaise tant que cela. « Je m’en fous ; je vais sucer ma banquière ! » Je me traine sur les genoux jusqu’à elle ; elle ouvre ses cuisses et sans m’attarder, j’y plonge ma tête. Je titille son clitoris, pénètre entre ses lèvres et rentre la totalité de ma langue dans son vagin. Ça ...
... marche ! Elle gémit. Je redouble d’ardeur, entre et ressort de sa caverne, lèche, suce, mordille son clito et rentre à nouveau ; c’est sûr qu’elle va jouir. Quant à moi, je suis terriblement excité, j’ai envie de me branler. « Allez, branle-toi, mon ami ; elle va apprécier » Je n’écoute que ma raison, j’empoigne mon dard et tout en léchant ma plantureuse banquière ; je me branle. Elle ne dit rien et pourtant elle doit sentir mes mouvements. — Plus fort, plus fort…je jouiis… ! Et moi plus fort, je jouis aussi, lâchant les jets puissants de mon sperme sur la moquette. — Espèce de porc ! Tu as sali ma moquette, nettoie-la avec ta langue, ordonne ma banquière dégoulinante de sueur. Emporté par l’euphorie de cet acte, je lèche le sol sans rechigner et j’avale mon propre sperme ; mon liquide gluant au goût infâme qui me donne envie de vomir. Je prends sur moi pour ne pas en arriver là et je regrette presque d’avoir demandé de la sucer. — Gladice, tu vas lui montrer sa chambre ; vous vous coucherez car demain sera une dure journée. Tu lui expliqueras aussi les règles dans cette maison. Je vous souhaite une bonne nuit. — Bonne nuit, Madame Shirine, bonne nuit Mademoiselle Lacksimy, dit Gladice. — Bonne nuit, Madame Shirine ; bonne nuit Mademoiselle Lacksimy, poursuis-je. Je suis ma guide qui en déambulant a un cul encore plus joli ; son déhanché et ses fesses qui rebondissent à chaque pas me font presque bander à nouveau. Nous montons des escaliers et arrivons sous les toits, elle ouvre ...