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Étudiant chez l'habitant (4)
Datte: 31/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... regarda son père dans les yeux : « j’en ai envie depuis que je l’ai vu pour la 1ère fois ! ». Les lèvres entrouvertes, elle déposa son bisou sur le bout du sexe de son père. Sa bise fut tellement appuyée qu’elle engloutit entièrement le gland de son géniteur ! Elle retira sa bouche avec un bruit de succion qui ne faisait aucun doute sur ses réelles intentions. Elle fit de même pour moi. Elle appuya sa bouche sur mon gland comme elle avait fait pour son père et je sentis deux coups de langue discrets sur mon urètre qui me fit frissonner. Pas de doute, Mathilde aimait déjà la bite. — Eh ben, ça va être dur de faire mieux ! Rigola Danielle et elle prit place devant moi. A l’inverse de sa fille, elle commença par mon sexe qu’elle téta plus qu’autre chose puis remontât me rouler un énorme patin ! — C’est pas juste, dit Mathilde, on avait dit un bisou ! — Oui c’est vrai, lui répondis sa mère, mais toi t’as sucé hihi! Et elle enchaina avec son mari. La 3ème manche fût remportée par les hommes et les femmes durent à leur tour nous présenter leur intimité. La chatte de Mathilde sentait encore l’odeur mentholée de la mousse à raser. Elle s’était assise sur le fauteuil, les jambes serrées et relevées à la verticale; elles écartaient ses lèvres de ses 2 mains. Sa tête penchée sur le côté, elle observait ma réaction. Sa mère m’encourageait : « approche toi plus près, regarde comme il est beau son minou, il a l’air doux et humide, approche, on voit aussi son petit œillet ! » A ses mots, ...
... Mathilde descendit un peu ses doigts et écarta ses fesses. La vue de son petit trou plissé, de sa vulve écartée et de son visage souriant derrière ses jambes était délicieuse. — On en mangerait ! Ne put s’empêcher de dire J-Paul. — Oh oui mon petit papa, j’ai hâte ! — Stop, les interrompit Danielle, c’est mon tour maintenant ! Nous assistions à une sorte de compétition amicale entre la mère et la fille à savoir qui serait la plus provocante. Danielle avait choisi de nous exposer ses charmes à 4 pattes, le buste posé sur l’assise du canapé, ses 2 mains écartant au maximum ses fesses. Elle commentait sur la douceur de son entrejambe qui dégoulinait déjà d’être ainsi exposé mais aussi sur le moelleux de son petit orifice accueillant… L’entendre parler ainsi de son postérieur m’excitait au plus haut point. Elle n’avait pas la fraicheur de sa fille, mais elle se défendait bien pour stimuler le désir des hommes. Lors de la 4ème manche, nous perdîmes et durent à notre tour embrasser le sexe de nos adversaires. Mathilde déclara que les hommes devaient être assoiffés par la partie et que, comme elle mouillait tellement, elle voulait bien se « sacrifier » pour nous abreuver. Je fus donc le premier à laper le jus tiède qui s’échappait de sa chatte. Je la dégustais mais au bout d’une trentaine de seconde, J-Paul me dit : « Laisses-moi en un peu et goutes donc la liqueur de ma femme, c’est un vrai sirop ! ». — T’inquiètes pas mon petit papa, je coule encore plus depuis que Jérémy m’a mis sa ...