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kary partie-01
Datte: 01/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme
1 Mon nom est Karine, L’histoire que je vais vous raconter est vrai et c’est mon histoire. En ce mois de novembre elle se poursuit toujours. Je vais omettre ou modifier certain détail pour conserver mon anonymat bien sûr. Si je vous la raconte c’est à la demande de Madame qui veut que j’occupe mes temps libres, lorsqu’elle ne peut s’occuper de moi. Alors voici comment tout a commencé… J’ouvre les yeux tout doucement. Il est 7h15, même si c’est lundi 4 avril, je commence une de mes journées de congé car je suis une professionnelle de la santé qui travaille sur des horaires variables. Je me dirige vers la salle de bain et après avoir soulagé la pression qui grandissait dans ma vessie je me prépare un copieux petit déjeuner. Assise à la table, sirotant mon café bien chaud j’observe le parc devant moi en cette journée radieuse d’avril 2016. Puis mon cerveau s’emballe, mes pulsions secrètes m’envahissent. J’avais prévu les assouvir en fin d’après-midi, mais la tentation est trop forte. Je dépose rapidement mes couverts sur le comptoir et me dirige vers mon garde-robe ou je range tous mes jouets. Sur le plancher du salon je dépose ma boite temporelle. J’y insert la clef de mes menottes et ferme le couvercle. Je règle la minuterie sur 1h00. Oui… Je vais me faire juste une petite séance pour pouvoir patienter jusqu’à celle que j’ai prévu cette après qui sera bien plus exaltante et difficile. Je retourne dans ma chambre près de la fenêtre. Je m’étends sur le plancher et j’insert ...
... dans mon vagin un petit vibrateur pré programmé avec l’aide de mon téléphone intelligent afin qu’il puisse me fournir des sensations de façon aléatoire et de diverse durée. Puis je me ligote les chevilles et les genoux avec de la corde. Hum le vibrateur fait déjà sentir sa présence en m’honorant de quelques vibrations. Je place dans ma bouche un bâillon boule, celui-ci est muni d’une boule creuse et perforé, il a l’inconvénient de laisser s’échapper beaucoup de salive mais il me permet de mieux respirer lors de mes séances. Ensuite je me prive du sens de la vue grâce à un bandeau. Enfin je place mes poignets derrière mon dos et les relie ensemble grâce à mes menottes. Clic… Clic et voilà, si je veux me libérer je dois parcourir la distance qui me relie à ma boite temporelle et attendre que celle-ci se déverrouille pour avoir accès à la clef qui me libérera. Je commence donc à ramper à l’aveuglette sur le plancher comme un ver de terre. De temps en temps le vibrateur se déclenche et me procure de douces sensations. Je me cogne sur un meuble, oui c’est le coin de mon bureau, je suis tout prêt de la porte de ma chambre. Finalement je réussi à sortir de celle-ci. Oups! Je n’y pensais plus, mais j’avais placé plusieurs pinces à linge sur le plancher du couloir qui mène au salon. Je dois les traverser, tantôt sur le ventre, tantôt sur le côté, je traverse péniblement cette partie. Chaque pince qui s’enfonce dans ma peau me procure une douleur à la fois pénible et merveilleuse, oui, ...