Ophélie en goguette : des vacances idéales
Datte: 01/09/2020,
Catégories:
hh,
vacances,
bateau,
BDSM / Fétichisme
hféminisé,
Transexuels
hsodo,
... qu’il faisait : le ciel était sans nuages, la météo ne s’était pas trompée, elle qui avait annoncé une journée chaude d’été. Je décidai donc de ne mettre que de simples dessous, une petite culotte brésilienne blanche, un soutien-gorge pigeonnant assorti, pour faire remonter mes seins, une jupe blanche qui m’arrivait au-dessus du genou et un top rose avec un papillon brodé de paillettes sur le devant, dont les ailes soulignaient chacune un sein. Je chaussai des spartiates blanches, qui s’enroulaient autour de mes mollets, l’inconvénient c’est qu’elles n’avaient pas de talons pour ébruiter ma démarche. Un dernier coup d’œil critique au miroir de l’entrée et je pris mon sac en crochet, style besace, que je suspendis à mon épaule droite et dans lequel j’avais glissé tout ce que l’on peut s’attendre à trouver dans le sac d’une dame. L’attirail de maquillage, un parfum, un petit peigne, un miroir, mon mobile, un petit paquet de serviettes humides et hygiéniques, un porte-monnaie avec mes papiers et CB. Le soleil étant au zénith, je chaussai une paire de lunettes teintées roses, griffées Chanel, et décidai de me rendre à pied au centre-ville distant d’une vingtaine de minutes pour y faire du shopping. J’appréciais cette petite marche, mes seins bougeaient agréablement au rythme de mes pas, et la gent masculine qui me croisait me suivait des yeux et, parfois, j’en surpris un qui se retournait et me faisait un sourire. Je flânai de boutique en boutique, n’ayant aucune idée préconçue ...
... pour un achat quelconque et me laissant guider par mon envie. Il commençait à faire très chaud et je pris place à la dernière table libre d’un café, sur une terrasse, dans la zone piétonne. C’était un vrai havre de paix avec ses arbres qui offraient aux passants leur ombre bienvenue. Naturellement, je ne restai pas longtemps seule. Le serveur n’avait pas fini d’apporter ma consommation qu’un homme dans la cinquantaine sportive me demanda l’autorisation de s’asseoir ; je la lui accordai, ne voulant pas faire ma mijaurée. Il engagea la conversation en parlant du beau temps, et me complimenta sur mon physique. Je me sentis rougir. Brusquement, un courant d’air souleva ma jupe. Je dois dire que lorsque je m’assieds, selon la longueur de ma robe ou jupe, au lieu de la lisser sous mes fesses je l’étale autour de moi et pose mes fesses directement sur le siège, ça me procure une superbe sensation ce contact avec la matière. Pour la circonstance, je fus contente d’avoir adopté l’attitude d’une femme ordinaire, j’avais croisé mes jambes dès que je m’étais assise, ce qui fit que mon vis-à-vis n’eut qu’une vision fugace de mes cuisses et peut-être aperçut-il ma culotte, mais j’avais déjà rabattu le tissu sur mes jambes. Il me sourit, je redevins toute rouge et pour cacher mon trouble bus une longue gorgée. Nous continuâmes de bavarder encore un moment et comme je manifestais au serveur mon intention de payer, mon voisin me demanda si je n’avais pas des projets pressants pour la suite de ...