1. Ophélie en goguette : des vacances idéales


    Datte: 01/09/2020, Catégories: hh, vacances, bateau, BDSM / Fétichisme hféminisé, Transexuels hsodo,

    ... temps. Cette fois-ci, je montai dans la voiture en tenant ma robe sous mes fesses, ce qui le fit sourire. Le parking du port était presque plein ; il trouva cependant une place près du môle et nous n’eûmes que quelques pas à faire pour arriver au bateau. Celui-ci était superbe, ce n’était pas un voilier, ni le plus grand dans le port, mais en tout cas le plus grand de sa rangée. Deux ponts, dont le supérieur prévu pour le pilotage. Marc me fit faire le tour du propriétaire : une vaste cabine à l’arrière avec un lit qui prenait les trois quarts de la place, une salle d’eau contiguë, un couloir qui menait au salon-salle à manger, et une cuisine au bout. Depuis le salon, deux marches menaient sur unsundeck avec table et chaises longues, et on pouvait accéder par là au pont supérieur. Marc m’invita à aller me changer dans la cabine du fond. Ce que je fis. Pendant que je me changeais, je l’entendis qui manœuvrait pour sortir du port. Je jetai un coup d’œil par le hublot le plus proche et vis que nous nous éloignions du ponton. Je choisis d’enfiler mon maillot de compétition tout d’abord, pour pouvoir nager, je mettrais l’autre pour l’après-bain. Je remontai rejoindre Marc, qui lui aussi s’était mis en maillot, et je pus constater qu’il n’avait pas encore de bedaine malgré sa cinquantaine. Il devait avoir une bonne hygiène de vie pour avoir une telle constitution physique. Son corps était halé ; il devait avoir l’habitude de l’exposer régulièrement au soleil, et je lui en fis la ...
    ... remarque. Il se retourna et émit un petit sifflement admiratif en me voyant, une fois de plus je sentis le rouge me monter aux joues, mais là impossible de dissimuler. Il sourit en me disant qu’effectivement son travail l’amenait à se déplacer dans des pays où le soleil était très souvent au rendez-vous et qu’il avait ainsi l’occasion de pouvoir en prendre des bains. Nous n’avions pas abordé le sujet des métiers respectifs et je profitai de l’occasion qui m’était offerte pour lui demander quel était le sien. –Sales-Manager pour l’Amérique du Sud et le Moyen-Orient, pour une grande boîte de montres, me dit-il. Et toi ? Je répondis que j’étais correctrice dans une maison d’édition de la place et me dirigeai vers lesundeck pour y prendre un peu de soleil. C’était agréable de sentir le soleil chauffer mon corps et cette sensation nouvelle du maillot de bain qui me faisait comme une seconde peau. La navigation du bateau procurait une légère brise qui atténuait un peu l’ardeur du soleil ; je fermais les yeux, me laissant aller au léger tangage du yacht. Je dus m’assoupir, car tout à coup une ombre me cacha le soleil : Marc se tenait au-dessus de moi, me faisant de son corps un rempart contre le soleil. – Debout, me dit-il en me tendant sa main pour m’aider à me relever. J’ai contourné l’île et jeté l’ancre. J’ai l’impression que nous serons tranquilles, car il n’y a pour le moment aucun autre bateau aux alentours. Effectivement, nous étions seuls, apparemment. Le bateau était ancré ...
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