Une directrice austère qui cache bien son jeu - Histoires de Sexe

Une directrice austère qui cache bien son jeu

... ruisselant. Dans un long gémissement, Louise jouit dans la bouche de Li-Xian. La bouche luisante de la cyprine de Louise, Li-Xian vient m’embrasser et me fait goûter pour la première fois à l’exquis nectar de Louise. À mon tour, j’embrasse Louise et partage avec elle le goût de son jus. Après quelques instants, notre amie chinoise heureuse de sa réussite se joint à nous et nous partageons un verre tous les trois. Assis entre ces deux femmes, si belles, si différentes, je profite tant que je peux de ce moment que je n’aurais jamais imaginé vivre. Louise redonne quelques billets à Li-Xian qui s’éclipse aussitôt. Louise se colle un peu plus à moi et me dit : — Serge. J’espère que ce petit intermède t’a plu. Pour moi, il a été très agréable, maintenant, je te propose de m’occuper un peu de toi… si tu en as envie, bien sûr.— Bien sûr que j’en ai envie, Louise. J’ai aussi et surtout envie de te donner du plaisir et d’achever ce que j’ai commencé la nuit dernière. J’ai quelques oublis à me faire pardonner.— Alors, allons-y Serge, nous avons encore la nuit devant nous, me dit-elle avant de m’embrasser langoureusement. Nous sortons du cabaret et montons dans un taxi pour retourner à notre hôtel. À peine installés, Louise entreprend de s’occuper de mon sexe et de me satisfaire. Elle défait les boutons de mon pantalon et en extrait l’objet de ces désirs. Elle me caresse et me dit : — Whaaaa, mon beau Serge, je n’imaginais pas que tu avais un tel engin. Tu vas voir, ta directrice va ...

... bien s’en occuper, elle le mérite, tu le mérites.— Il est tout à toi, fais-toi plaisir, lui dis-je, impatient de voir Louise à l’œuvre. Louise entreprend alors de me sucer alors que le taxi roule vers notre hôtel. Elle commence par me lécher sur toute la longueur de ma tige. Ses lèvres vont et viennent comme si elles jouaient de l’harmonica, pour moi, cette mélodie est absolument sublime. Sa bouche prend possession de mon gland, elle l’avale avec envie et poursuit son avancée avec délectation. Rapidement, c’est tout mon sexe qu’elle absorbe, qu’elle engloutit. Je vois le chauffeur de taxi qui, dans son rétroviseur, ne perd pas une miette des exploits de Louise. Elle s’en rend compte, mais cela ne la perturbe pas et elle me suce de plus belle. Je lui dis que je ne vais pas résister longtemps à ses assauts. Louise profite de ma faiblesse passagère et accélère encore la cadence. Je ne tiens plus et me lâche en elle. De longs jets puissants envahissent sa bouche, sa gorge. Elle avale tout et nettoie jusqu’à la dernière goutte. Je m’excuse de n’avoir su et pu me retenir. Elle me gratifie d’un grand sourire et juste avant de m’embrasser à pleine bouche, elle me dit : — Tu m’aurais vexée si tu avais résisté à pareil assaut, mon Serge chéri. Le chauffeur me regarde dans le rétroviseur et lève son pouce en riant ! Non mais, de quoi je me mêle… Nous arrivons à l’hôtel et Louise règle la course. En sortant de la voiture, elle me dit : — Je suis en ébullition, il va falloir que tu t’occupes ...