Une directrice austère qui cache bien son jeu
Datte: 01/09/2020,
Catégories:
fh,
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Collègues / Travail
... va ! me dit-elle en éclatant de rire. Nous finissons notre petit-déjeuner et prenons notre taxi pour commencer notre journée de travail. Je retrouve ma directrice sérieuse, concentrée, très pro, je comprends que l’on n’est plus là pour batifoler. Nous arrivons chez le premier des sous-traitants que nous devons visiter aujourd’hui. Alors que le patron et ses cadres nous accueillent, Louise me glisse dans la main un petit objet métallique muni d’un bouton rouge. Elle me fait un clin d’œil et me dit en souriant : — À toi de jouer Serge ! Je réalise qu’elle vient de me donner la télécommande de son œuf vibrant, ce qui veut dire que… que l’œuf est en elle ! Elle a dû se l’introduire dans le vagin alors qu’elle se préparait et que je dormais encore. Avec Louise, décidément, c’est toujours de surprise en surprise. Je lui glisse à l’oreille : — Tu vas souffrir, Louise !— Mais, j’espère bien, mon petit Serge… Alors que je range la télécommande dans ma poche, j’appuie sur le bouton rouge à l’instant où elle serre la main de notre hôte. Je la vois sursauter et me jeter un coup d’œil qui se veut courroucé, mais qui ne peut masquer son excitation. Nous passons toute la journée à visiter les différents sites de production et à présenter les prototypes qui seront bientôt à industrialiser. Je ne manque pas de temps en temps d’actionner le petit interrupteur, si possible, lorsque Louise ne s’y attend pas. Je la vois à chaque fois sursauter même lorsque la situation voudrait qu’elle reste ...
... concentrée sur ce que lui explique son interlocuteur. Entre deux visites, elle m’avoue apprécier intensément cette vibration au plus profond de son ventre. Elle me fait même la confidence qu’il lui arrive au bureau de venir avec cet œuf et de temps en temps de se faire plaisir. Elle me dit : — Tu sais, mon Serge chéri, le soir où tu m’as fait la démo de ton travail, je l’avais en moi et alors que j’étais derrière toi, je déclenchais régulièrement des petites vibrations. C’est comme cela que je me suis rapprochée de toi et que je m’amusais à caresser tes cheveux avec ma poitrine. J’avais terriblement envie de toi. J’ai bien essayé de te le faire comprendre en me penchant pour te faire découvrir ma poitrine, mais je n’ai vu aucune réaction. J’ai cru que je ne te faisais aucun effet. J’aurais tellement aimé que tu me prennes sur le bureau, que tu relèves ma jupe, déchires mon chemisier et me prennes brutalement.— J’avais bien senti le contact de ta poitrine sur mes cheveux, mais je pensais que c’était involontaire et que tu te rapprochais pour mieux voir mon écran et que tu ne te rendais pas compte de l’effet que tu me faisais. Puis, quand tu t’es penchée et que j’ai pu admirer de très près ta poitrine magnifique, je croyais que c’était moi qui étais un obsédé et que je n’aurais pas dû regarder de ce côté-là. Je peux te dire maintenant que quand je suis rentré chez moi, ma mère m’a dit que j’avais l’air bizarre. Je lui ai dit que tout allait bien, je lui ai annoncé mon prochain ...