1. Une directrice austère qui cache bien son jeu


    Datte: 01/09/2020, Catégories: fh, fplusag, asie, hotel, boitenuit, voyage, Oral fgode, pénétratio, fdanus, portrait, Collègues / Travail

    ... d’accueil, elle arrive quelques minutes après moi. Je retrouve ma directrice préférée, dans son costume traditionnel de directrice bien stricte avec son chignon bien haut sur la tête. Décidément, quel changement ! Nous passons la journée à rendre visite à nos fournisseurs chinois à présenter nos prototypes. Une journée épuisante avec le décalage horaire qui commence à se faire sentir. En fin d’après-midi, nous retournons à l’hôtel. Dans le taxi, Louise me dit qu’elle va me faire découvrir Shanghai ce soir. Nous convenons de nous retrouver d’ici une heure, le temps de faire un brin de toilette et de nous changer. Une fois que je suis prêt, je descends dans le hall de l’hôtel. Louise n’est pas encore arrivée, je m’assois dans un canapé et remarque une femme qui observe au-dehors la rue fourmillante d’activité. Très belle femme, me dis-je, une jolie robe bustier qui semble mettre en valeur une poitrine généreuse, des hanches bien dessinées, une taille particulièrement fine, des jambes galbées et musclées que sa robe assez courte permet d’apprécier pleinement, des talons aiguilles haut, très haut, une chevelure blonde, légèrement ondulée qui lui retombe magnifiquement sur les épaules. Un beau modèle vraiment avec tout plein d’options. Vue de dos, je dirais qu’elle doit avoir à peine la trentaine, pas plus. Elle se retourne, me regarde et vient vers moi. — Mon petit Serge, je vous attendais, me dit Louise tout sourire Merde, je ne l’avais pas reconnue tant qu’elle n’avait pas ...
    ... ouvert la bouche et s’était adressée à moi. Heureusement que j’étais assis, car je suis « sur le cul ». Elle a mis un rouge à lèvres très vif, un maquillage travaillé qui met en valeur son visage rayonnant. Ses yeux bleus débarrassés de ses lunettes sont comme des saphirs qui me dévisagent. Je me lève et je m’approche d’elle surpris par le charme insoupçonné de ma directrice. Elle me fait deux bises très appuyées, m’attrape par le bras et m’entraîne au-dehors pour monter dans le taxi qui nous attend. Je la suis, accroché à son bras, tel un toutou qui suit sa maîtresse. Pendant que le taxi roule, Louise me fait découvrir Shanghai, ses grattes ciels illuminés, ses rues animées aux enseignes rougeoyantes. C’est grandiose, je n’imaginais pas tant de luxe, de modernité. Louise me donne des explications sur cette ville qu’elle connaît fort bien grâce à ses nombreux voyages professionnels. Soudain, Louise me demande : — Alors mon petit Serge, avez-vous apprécié votre vol dans l’A380 ?— Oui, Louise, c’était très confortable, très agréable.— Et vous les avez trouvés comment ? me dit-elle soudain l’air contrarié.— Euuuh. Trouvé quoi, Louise ? lui réponds-je interloqué par ce changement brutal d’attitude.— Eh bien, mon petit Serge, mes seins bien sûr. Vous les avez déjà oubliés ? Je deviens rouge pivoine, je bredouille : — Euuuh, excusez-moi, Madame, pardon Madame, je n’aurais pas dû, Madame…— Exact, on est bien d’accord mon petit Serge, vous n’auriez pas dû ! Vous n’auriez pas dû vous ...
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