Ecole Du Sexe (4)
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
Hardcore,
Inceste / Tabou
Ma sœur, une fois avoir avalé la dernière bouchée de son dessert, se rassit en même temps que moi. Alice nous regardait, amusée, les yeux rivés sur mon membre épuisé. Alors qu'elle s'apprêtait à me chuchoter quelque chose à l'oreille, monsieur Auburn se leva et le silence s'ensuivit, forçant ma partenaire à se rasseoir et à attendre son tour.-Jeunes gens, félicitation ! Votre dernière épreuve d'entrée est maintenant derrière vous. Vous avez, durant cette soirée, prouvé que vous aviez votre place parmi nous. Maintenant, puisque les choses amusantes sont passées, les choses moins drôles doivent être abordées. Les cours commenceront lundi matin, soit dans deux jours. Profitez de ces quarante-huit heures pour partir à la découverte de ce gigantesque château. Vous trouverez vos emploi du temps hebdomadaires sur vos lits, à côté des pilules contraceptives et des préservatifs que nous fournirons tout au long de l'année, pour celles et ceux qui le souhaitent, bien entendu. Y a-t-il des questions ?Un silence de mort régna dans la grande salle à manger. Monsieur Auburn, nous observant de ses yeux joyeux, et madame Gustave, avec son regard empli de mystères, nous électrisaient tous. Nous avion tous hâte de commencer nos leçons, un comble pour deux cancres comme moi et ma sœur. Nous étions tous deux mauvais à l'école, en particulier en maths.-Bien, sur ce long discours, je vous invite à rejoindre vos chambre et à récupérer de ce succulent repas.Sans prononcer un mot de plus, le ...
... directeur de l'école recula pendant que sa voisine, la fameuse madame Gustave, se leva et entreprit de nous guider jusqu'aux dortoirs. Voyant que chacun attrapait les parties intimes de son ou sa partenaire, comme pendant notre entrée, la vieille femme nous interpella.-Inutile, gardez vos mains libres mes enfants, les touchés ne constituaient qu'une épreuve de plus.Déçu, je lâchai les parties de mes deux partenaires, mes doigts humides de cyprine. Elles eurent, tout autant que moi, des hésitations avant de ce décider à me lâcher, mais, voyons le bon côté des choses, je n'avais plus à porter mon caleçon en équilibre sur mon épaule. Les filles, quant à elles, décidèrent de passer leurs culottes sur ma tête et, leurs soutiens-gorge en équilibre sur mon pénis, à nouveau en érection devant leurs agissements. Nous montâmes donc les escaliers de pierre jusqu'à entrer dans une vaste salle au deuxième étage : le dortoir des premières années. Chaque section avait son étage, expliqua madame Gustave, les nouveaux récupérant celui le plus en bas, prétextant que les plus anciens avaient plus de ressources et d'énergie que nous, théorie que j’entendais bien évidemment réfuter. La vielle dame nous fit alors entrer dans nos chambre et nous pûmes alors observer notre dortoir. Vingt lits étaient disposés à travers l'immense pièce. Au fond, à droite, une porte menait aux toilettes, publiques également. Il fallait d'ailleurs traverser cette pièce afin d'atteindre les douches aux nombres de vingt, autant ...