1. Ma poupée russe en club hot (1)


    Datte: 11/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Les premiers mois avec Anastasia se sont vite écoulés et comme je l’avais imaginé, plus les semaines passaient, et plus je trouvais qu’Anastasia était une femme faite pour moi. Pour mémoire, je rappelle que ma jeune compagne de 23 ans est ukrainienne, grande blonde platine, très mince, le portrait craché d’Anita Blonde pour les connaisseurs (euses) et un gros 90 F naturel de tour de poitrine. Elle avait appris notre langue en un clin d’œil, quasiment sans accent d’ailleurs, bien qu’elle roucoulait encore les « rrrr » ce qui demeurait fort charmant. Elle se libérait sexuellement de plus en plus ; davantage ouverte et demandeuse de nouvelles sensations. Nous nous y sommes donnés à cœur joie. Toutes les pièces de la maison y sont passées. Elle a appris à se libérer, à exprimer ouvertement son plaisir. Nous faisions l’amour trois ou quatre fois par jour durant plusieurs mois depuis qu’elle était arrivée dans ma vie. C’était fabuleux. Comment refuser ce corps de rêve? Dès que je la voyais dans la journée, allez hop, c’était parti pour un tour ! Loin de tomber dans la routine, bien au contraire, nos galipettes devenaient même de plus en plus hards, de plus en plus sauvages, bref, c’était le pied absolu. D’ailleurs, nous ne faisions plus l’amour comme au début. Nous baisions littéralement comme des animaux en rut. C’était comme un besoin impétueux, une pulsion incontrôlable qui avait un seul remède : copuler le plus vite et le plus souvent possible ensemble. Pourtant ma princesse ...
    ... m’avait jusqu’à présent toujours refusé son autre entrée, sous prétexte qu’elle n’avait jamais trouvé la position excitante. Cela devint à force plutôt frustrant. Mon objectif était donc d’arriver à lui posséder son fondement à terme. J’abordais régulièrement le sujet mais elle s’y refusait implacablement, comme d’habitude. Pourtant, lorsque nos échanges fougueux atteignaient leur paroxysme, elle tenait un tout autre discours à ce sujet. Bien au contraire, elle m’avouait sur le moment que cela l’exciterait de se sentir encore plus soumise. Je n’hésitais donc pas à lécher de temps en temps son œillet ; ou en missionnaire à laisser égarer un doigt dans son anus dégoulinant sans qu’elle s’en aperçoive. D’abord surprise, n’avouant pas le plaisir éprouvé grâce à ce doigt inquisiteur, je finis par la convaincre, au fil de nos discussions, qu’elle devrait explorer cette nouvelle piste. Pour lui faire sauter le pas, nous sommes aller dans un sex-shop acheter un arsenal de godes de différentes textures, tailles, formes ou couleurs pour qu’elle puisse s’entrainer par cet orifice. Nos multiples parties de jambes en l’air ne s’en sont que décuplées d’intensité. Bien souvent, elle s’introduisait elle même le plus gros des godes noirs qu’elle choisissait souvent pendant que je la prenais par la chatte, ce qui la comblait au plus haut point. Elle multipliait les orgasmes comme jamais. Au cours d’une de nos cavalcades endiablées, je lui ais même soumis l’idée qu’elle puisse se faire prendre ...
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