1. De gentils voisins


    Datte: 03/09/2020, Catégories: fh, ff, hh, ffh, 2couples, grp, couplus, voisins, forêt, jardin, parking, caférestau, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, échange, Partouze / Groupe

    ... son baiser devient plus fougueux, devient un vrai baiser d’amante. Elle suce le mamelon durci, flatte l’aréole de la langue, mordille, excite Magali qui gémit sous la tendre caresse si désirée. — C’est bon, murmure Magali, lui rendant ses caresses. Les mains explorent les corps, un peu fébriles au début, puis s’enhardissent et les deux femmes découvrent ensemble la douceur de leur peau, les charmes secrets de leurs courbes. Les cuisses s’ouvrent et accueillent entre elles la cuisse de l’autre. Les bassins ondulent, les chattes se touchent et se caressent l’une l’autre. Les mains frôlent les hanches, les fesses, les bas-ventres, les pubis. Comme des fleurs au soleil levant, les sexes s’ouvrent et accueillent entre leurs lèvres, mouillées de rosée matinale, les doigts experts et curieux qui butinent le plaisir. Seules les femmes entre elles ont le don de toucher juste l’endroit sensible d’où le plaisir irradie tout le corps. Elles se font l’une et l’autre caressantes, tendres et précises. Elles se placent tête-bêche et leurs langues à toutes deux fouillent leurs sexes avides et offerts. Les bouches sucent les clitoris, les langues lapent délicatement les petites lèvres et avec tendresse provoquent la montée du plaisir. Et puis c’est le moment de grâce, de bonheur. Les ventres se contractent, les seins se durcissent, les caresses effleurent les clitoris et l’orgasme profond, voluptueux, irradie les corps. Haletantes, tendues sous l’effort, elles sombrent. Elles frémissent ...
    ... ensemble et ce plaisir leur apparaît nouveau, plus lascif, plus doux. Pantelantes, repues de bien-être, un long moment, elles savourent leur découverte, se caressent, pensives, et se bécotent gentiment. Elles scellent enfin leur nouvelle amitié saphique par un vrai baiser, leurs lèvres se touchent, se caressent, leurs langues se donnent et se prennent. — Tu as aimé ? questionne maintenant Michèle.— Quelle découverte ! fait Magali. Je n’aurais pas cru. C’était vraiment bon, si doux, si précis, si fort. Il n’y a vraiment qu’une femme pour aussi bien connaître le corps d’une autre femme.— Merci, toi aussi, tu sais, tu as été merveilleuse. Quelle jouissance ! Je suis toute mouillée ! Filons sous la douche, les hommes doivent nous croire rendormies ! Les hommes se sont partagé fraternellement la salle de bains : la réserve de rasoirs jetables et de brosses à dents a été mise à contribution et Jacques a été invité à rester. — Considère-toi en vacances, lui dit Michel, passons encore la journée ensemble, si les femmes sont d’accord.— Merci, et merci de nous avoir gardés pour la nuit : c’était magique de s’endormir ensemble. Michel rit. — Une idée tordue de dernière minute, après la soirée qu’on a passé !— C’était terrible !— Génial !— Tu as une très chouette femme.— Toi aussi !— Merci. Bon, on se rhabille ou on reste à poil ?— Bah ! Il sera encore temps de se rhabiller plus tard. On fera en fonction des femmes. Le café fume et sa bonne odeur emplit l’appartement. Les deux hommes bavardent ...
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