De gentils voisins
Datte: 03/09/2020,
Catégories:
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69,
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Partouze / Groupe
... les accueille avec empressement. C’est un homme sympathique, enjoué, il a le don de mettre tout le monde à l’aise et traite chacun de ses clients comme un ami. En bon Italien, il ne manque pas de faire avec son inimitable accent et ses belles moustaches un brin de cour aux dames, surtout quand elles sont jolies, et ne se prive pas de compliments à leur égard. Il propose effectivement au quatuor un coin tranquille : une table confidentielle, joliment entourée de claustras garnis de plantes vertes. L’ensemble forme presque un agréable cabinet particulier. Les antipasti accompagnent généreusement l’apéritif maison. Le rosé est bien frais, gouleyant à souhait et les pizzas richement garnies, moelleuses et parfumées sur une pâte fine et croustillante : un vrai festin de vacances. Chacun est heureux et le repas très convivial. Les conversations se font vives et enjouées, les hommes taquins, les femmes espiègles. Les pichets se vident et le rouge monte aux joues. On se prend quelques baisers. Les femmes se tortillent de temps à autre pour rabaisser des jupes décidément bien indisciplinées. Les hommes s’amusent discrètement à les remonter et agacent furtivement les fentes nues et mouillées d’excitation au grand dam des femmes qui jouent les vierges effarouchées mais tout de même écartent un peu les cuisses pour faciliter les caresses. Elles protestent pour le jeu mais pelotent avec la même discrétion les queues bandées des hommes au travers de leurs pantalons. — Vraiment ! Quelle ...
... tenue ! Arrêtez, on va nous prendre pour des filles ! dit Michèle mi-sérieuse, mi-rieuse. Une serviette est tombée. Giorgio en passant la ramasse pour la changer. Il se relève et ne peut s’empêcher d’adresser aux femmes un sourire coquin, aux hommes une œillade discrète. Mais en professionnel qui en a vu d’autres, il s’éloigne discrètement. — Voilà, c’est fait ! constate Magali. Après tout tant pis : il ne peut que nous envier, le beau Rital amateur de femmes ! Tous rient de cette évidente constatation. L’addition arrive, accompagnée du traditionnel alcool Amaretto, un peu plus généreux peut-être qu’il n’aurait été nécessaire, et l’on discute du programme de l’après-midi. Jacques propose une ballade digestive au parc. Il fait beau, le ciel est bleu, ponctué de petits nuages blancs et une brise légère accompagne les promeneurs. Le parc est fleuri, les roses embaument, les bancs invitent à la détente. Quelques personnes âgées réchauffent leurs vieux os au soleil et des enfants jouent près de la pièce d’eau. Les oiseaux chantent et pépient dans les fourrés. Les femmes se sentent d’humeur folâtre et commencent à s’habituer à ne rien porter sous leurs jupes : elles sont moins gauches, plus naturelles. On fait une petite halte, s’assied sur un banc, on papote de tout et de rien. Les pigeons curieux trottinent un peu partout. La vie est belle et l’après-midi charmant. Dans le lointain, on joue Haendel et les notes cristallines ajoutent à la magie du moment. Michel propose d’aller ...