La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°751)
Datte: 03/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°747) - Madame la Baronne - Madame la Baronne, âgée, est là toute petite, frêle et assise dans un large fauteuil beaucoup trop grand pour ce petit corps abîmé par le temps. Je constate son visage flétri et marqué par les années, des rides profondes marquent son front. Sa coiffure est tenue en un chignon très élégant, ses cheveux blancs se croisent et s’entrecroisent en une tresse relevée. Ses yeux, gris-vert, en revanche sont vifs sinon étincelants. Elle converse avec Monsieur le Marquis, lui aussi, assis dans un fauteuil, face à elle. - Je suis très contente de vous revoir mon Cher Edouard. - Moi également Edmonde, j’ai absolument voulu vous rendre visite, comme à chaque fois que je viens en Suisse. Je me tiens debout, totalement nu près du Maître, portant juste mon collier autour du cou. Madame Murielle se tient près de moi en me tenant par un bras. Cette situation a tendance à m’exciter, je suis le seul à être nu, j’ai du mal à calmer mes ardeurs, je bande mou ! La conversation a un brin de mondanité, elle est exquise comme si tous les mots étaient choisis, Monsieur le Marquis excelle en la matière. Je constate aussi la profonde amitié, datant certainement de longue date, entre le Maître et cette vieille et très riche dame. - Je vois ma Chère Edmonde, que Murielle est toujours à votre service ! - Oui, et elle le restera jusqu’à ma mort, répond presque autoritairement Madame la baronne. Elle regarde ...
... Murielle avec compassion et un brin de tendresse. - Vous savez mon Cher Edouard, Murielle est entrée à mon service, alors qu’elle n’avait que dix-sept ans. Ça fait plus de quarante ans qu’elle est là, près de moi. Elle me doit tout aujourd’hui. Elle a eu une vie heureuse ici. Aujourd’hui, elle me rend bien des services, elle est devenue ma dame de compagnie, mais aussi mon auxiliaire de vie et avec le temps, je la considère presque comme ma propre fille, ce qui est merveilleux pour elle qui n’était qu’une simple soumise-chienne à Mes pieds. A mon âge, mon grand âge, j’ai besoin de quelqu’un pour m’assister dans mon quotidien. La vielle Dame se tait quelques instants puis reprend, ses yeux s’embrument, puis soudainement se ressaisit : - Murielle, je l’ai formé et quelque peu dévergondé. (Madame la baronne sourit !) J’ai exigé beaucoup d’elle. Je lui ai imposé un mariage avec André mon jardinier si bien monté, un peu simple d’esprit, certes mais un grand travailleur, toujours dévoué, toujours prêt à rendre service ! Et des services, à Mes pieds, il m’en a rendu… - Je ne savais pas que Murielle et André formaient un couple ! reprend Monsieur le Marquis. - Eh oui, un couple comme vous dites mon Cher Edouard… un couple un peu particulier, car jamais ils n’ont eu d’enfant. Je ne le voulais pas. Je ne voulais pas que mes deux ‘servants’ puissent être détournés de leur mission, celle de me servir en tout temps, en tout lieu, comme les bons soumis dévoués qu’ils sont à mes pieds. J’ai ...