Vrai ou faux, nuit ou jour, c'est cul qui décide ?
Datte: 03/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... immédiatement. Elle ouvrit le flacon, en renversa un peu dans sa main, et s'en étala partout sur la poitrine. Elle souleva le godemiché qu'elle venait de ramasser, et l'enduit lui aussi, du liquide. Elle glissa le gros sexe en plastique, entre ses seins, simulant une branlette espagnole. Puis elle pencha sa tête en avant et donna des coups de langue, sur l'ersatz de sexe. Elle écarta les lèvres, et le plastique commença de s'enfoncer dans sa bouche. Millimètre par millimètre, l'engin progressait entre les mâchoires de l'exhibitionniste. Une fois le gland avalé, elle glissa ses doigts dans sa chatte, et, se branla, pendant qu'elle suçait le membre factice. La lumière s'éteignit, et je partis me coucher. Cette nuit-là, ma queue était épaisse et noire. Une femme avec des gros seins me taillait une bouffarde de première. Elle m'encouragea à faire une sieste, juste après l'amour. Le lendemain soir, je retournai vers la fenêtre. Je voyais la femme de dos, elle était tournée vers la porte, et semblait parler à quelqu'un. Elle revint vers la fenêtre, et convia son interlocuteur à s'approcher du lit. Je ne pouvais pas distinguer l'individu. Je vis la femme s'agenouiller entre ses genoux, et celui-ci, lui donner sa bite à sucer. La mienne était humide. La femme se releva et alla s'agenouiller contre le lit, le cul relevé, les fesses offertes. L'individu se leva et se retourna vers moi. C'est alors que je le reconnus : C'était moi ! Depuis une semaine, une jolie poupée, venait se faire lutiner, tard dans la nuit. La fenêtre d'en face, était en fin de compte une glace dans laquelle je me voyais en train de baiser ma nouvelle conquête, sur le point, de m'endormir.