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Natasha & Franck (5)
Datte: 04/09/2020, Catégories: Transexuels
... aussi voulait nous laisser seuls mais je voyais bien qu’une part d’elle souhaitait rester en compagnie d’un homme, fusse t-il l’amant de sa fille. Si elle n’avait pas changé grand-chose dans sa façon de s’habiller, sa tenue était cependant moins austère qu’à l’accoutumée. Elle laissait ses cheveux détachés et leur donnait une touche ébouriffée, ce qui lui conférait un air bien moins sage. Nous devisions sous le ciel limpide et étoilé, au son des grillons et parfois d’une chouette. La lune serait pleine dans deux ou trois jours. Marie avait calé sa tête contre mon épaule. Trois bougies posées sur la grosse table en bois éclairaient nos visages. Cette ambiance intimiste encourageait plus ou moins inconsciemment Françoise à s’enhardir quelque peu. Tout en s’excusant, elle frotta une jambe contre la mienne. Le geste était toutefois suffisamment long et appuyé pour laisser peu de doutes. Il était une heure quand Marie souhaitait aller dans sa chambre. Je la suivais dans l’étroit et raide escalier qui y menait. J’avais son merveilleux petit cul qui se dandinait juste devant mes yeux. A peine entrés, elle refermait la porte et m’y plaquait contre. Elle collait ses lèvres contre les miennes. Sa langue tentait de changer de bouche. Elle plongeait son regard dans le mien. Un regard faussement innocent mais sincèrement lubrique. Elle reculait jusqu’au lit, me tirant à elle par le t-shirt et se laissait tomber en arrière. Elle approcha sa bouche de mon oreille et murmurait : « Il ...
... semblerait que ma mère ait envie de toi, monsieur le séducteur… -Serais-tu jalouse ? -Un peu. Mais je trouve cela aussi très excitant. -Tu aimerais me regarder avec ta mère ou c’est juste l’idée que je puisse faire l’amour à ta mère qui t’excite ? -J’aurais envie de vous regarder, mais sans me cacher. » Marie était une fille particulièrement salace. Plus nous prenions du plaisir ensemble et plus elle semblait vouloir franchir les nouvelles limites qu’elle venait d’atteindre. Parfois je me demandais jusqu’où pourrait-elle aller. Et en général, je préférais ne pas trop y réfléchir. Marie arracha mon t-shirt. Pour ma part, je tentais de ralentir la cadence. Je fis glisser une à une les bretelles de son haut blanc. Je caressais ses fines épaules légèrement bronzées. J’en embrassais la peau délicate et remontais jusqu’à son cou qui était comme une invitation pour un vampire. Alors que ma bouche s’afférait sur cette courbe, mes mains se dirigeaient vers d’autres courbes, toutes aussi plaisantes. Ses seins, puis ses hanches et finalement ses fesses que j’aimais tant saisir à pleines mains. Mais elle ne me laissait pas le temps d’y arriver. Elle descendait le long de mon torse en dessinant de sa langue des courbes invisibles, gravant d’autres de ses ongles le long de mon dos. Sa bouche arriva à destination. Elle agaçait ma verge de quelques coups de langue, suçotant le gland quelques secondes, puis redonnait de longs coups de langue le long de la hampe. Je me glissais sous elle et chaque ...