Ophélie, de femme à femelle (8)
Datte: 05/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Instinctivement, je prends ce morceau de chair mou et pendant dans ma main, sans le serrer, le tenant juste à la base, visant le centre de la cuvette, regardant mon Maître, craignant de mal faire. Il pianote toujours sur son portable, comme si cette situation était banale et, sans même jeter un coup d’œil à son sexe, commence à se soulager. Je sens le dessous de son sexe se gonflé, l’urine passer le long de ma paume à travers sa bite et, l’urine jaillir au bout. Un beau jet doré, partant un peu à droite, je le regarde, hypnotisée, trouvant se moment humiliant, dégradant et excitant. Sans même m’en rendre compte, je mets ma main sur ma vulve, chaude et humide mais, je me fais rappeler à l’ordre par mon Maître. Je n’ai pas l’autorisation de me toucher. Frustrée, j’enlève ma main et la pose sur ma cuisse, pendant que le jet se tarit, il sort moins fort et pars à coups jusqu’à l’arrêt complet, juste quelques gouttes qui tombent sur le rebord. Sous ses conseils, je secoue son sexe, branle doucement la peau pour essorer les dernières gouttes. Il en a fini avec son portable, il me regarde, me disant qu’on a l’impression que j’ai fait ça toute ma vie. Ces humiliations, je les prends comme des compliments, je suis fière, je suis une bonne chienne ! Je ne veux plus lui lâcher son sexe, comme aimantée par ce pieu que je trouve magnifique, beau, attirant et, avant qu’il ne dise un mot, je m’approche de ma prise, bouche ouverte, langue tirée frottant son gland dessus, pour le nettoyer, ...
... goutter son urine légèrement poivrée, serrant mes lèvres au bout de son gland pour aspirer les dernières gouttes de ce précieux liquide. Je vois et sens que cette initiative lui plaît, surtout par le gonflement significatif de sa verge. J’ouvre les yeux et les lèvent pour voir son sourire de mâle dominant, ce sourire qui veux dire « tu es à moi sale chienne ». - Je vois que tu as envie de te faire baisser la bouche dans les chiottes, salope. Hein ? Oh oui, et pas que la bouche mon maître ! J’ai envie de me faire baiser tout court. Vas-y, baise ta salope de chienne. Pour toute réponse, j’ouvre en grand ma bouche, engouffrant une partie de ce monstre de plaisir qui ne cesse de grossir, de grandir. Arnaud pose son téléphone sur le réservoir des toilettes, me prend la tête à demain et en me promettant que je vais être servie, commence à me pilonner la bouche, me faisant reculer à chaque coup de bassin, si bien que j’ai la tête au-dessus de la cuvette, au-dessus de sa pisse. Il se déchaine dans ma bouche, il force toujours un peu plus à chaque retour, il me fait baver, tousser, hoqueter. Je sais ce qu’il essaie de faire, me la mettre entière, me la faire avaler complétement mais, j’en suis qu’à la moitié et déjà j’ai des haut de cœur, je bave comme un bulldog, si il insiste, je vais m’étouffer avec mon vomi. Il insiste, je sens son gland toucher mon œsophage, déclenchant instinctivement le rejet de tout ce qui se trouve dedans, je vais mourir étouffer mais avant que je ne cède à la ...