Dani-elle Chapitre 09 - Histoires de Sexe

Dani-elle Chapitre 09

... de passer. J'ai tout de même pu constater que l'homme qui m'avait accueilli avait une belle érection quand il m'a remis mes sacs et signalé que je pouvais passer. Vu ma nervosité je n'ai pas insisté, mais j'aurais bien aimé que l'homme me demande de lui débarrasser de cette gênante tuméfaction. L'autre chose que mon Maitre m'a ordonnée quand il m'a contacté tantôt c'était de ne refuser aucune avance, mais de ne flirter avec personne. Je dois avouer que dans mon état, malgré ma nervosité face à la situation, je suis continuellement excité sexuellement. Tout me semble prétexte pour une pensée liée au sexe et j'aimerais pouvoir relâcher cette tension. Alors ce que je trouve le plus dur dans l'ordre reçu n'est pas d'accepter les avances, c'est de ne pas pouvoir les provoquer autrement qu'en obéissant aux ordres de mon Maitre. Avant d'arriver à la maison, quand je vais avoir retrouvé ma liberté, je vais devoir prendre quelques minutes pour diminuer ma tension sexuelle. Je m'imagine me masturber dans les toilettes de l'aéroport. Mon esprit dérive et je réalise que cette pensée ne m'aide en rien actuellement. Je dois penser à autre chose que le sexe. Je lève les yeux et je réalise qu'un homme s'approche de moi. Il doit avoir la mi-cinquantaine, les cheveux grisonnants. Il est bien habillé, assez grand et mince. Son visage m'est familier, mais je n'arrive pas à y mettre un nom. Il me regarde sans détour. Ce doit être l'espion de mon Maitre. Il vient se planter devant moi et dépose ...

... ses deux sacs de cabines. — Est-ce que vous travaillez aujourd'hui ? — Pardon ? — Hier soir... Je vous ai rencontré... Vous étiez une des hôtesses... Vous étiez différente... Il parle de façon saccadée. Et il regarde de temps à autre nerveusement par-dessus son épaule. — Étiez-vous à la soirée de madame Thomas ? Je suis désolée, mais je n'ai qu'un très vague souvenir de vous. Que voulez-vous dire si je travaille aujourd'hui ? — Oui oui, madame Thomas. Je suis un distributeur de jeux. Elle m'a invité. Je ne savais pas qu'il y aurait des professionnelles à la soirée et j'aimerais vous engager... — Croyez-vous que je suis une prostituée ? Il se met à rougir furieusement. Je réalise qu'il ne peut être l'espion, où, s'il l'est, il joue mal le jeu. — Non... Non... Ce n'est pas ce que je veux dire, je ne voulais pas vous offenser, mais... est-ce que je peux m'assoir à côté de vous ? — Certainement. Sachez que je suis une game designer. Madame Thomas ne vous l'a pas dit ? — Non. Je n'en avais aucune idée. Madame Thomas ne m'a pas adressé la parole. Je n'aurais pas cru. Et les autres ? — Je ne sais pas et ce n'est pas mon habitude de poser des questions. Je ne travaille pas, comme vous le dites, mais pour un client de la boite c'est avec plaisir que je peux vous rendre service. Comment puis-je vous être utile ? — Vraiment ! Je ne sais pas si c'est approprié. Je suis prêt à vous dédommager... — Allez avant que je change d'idée. Aimeriez-vous que je vous offre une fellation ? Est-ce que ...