Gynécologue Pervers 2
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Partouze / Groupe
Caroline ne faisait que répéter " oui, oui, ", ses cris se transformèrent en hurlements lorsque le docteur changea de position pour l'enculer tout en lui fourrant une main entière dans la chatte, et le film s'arrêta après qu'il jouit et la laissa pantelante sur le tapis.Le docteur me jeta un regard satisfait, et je pensai que le matin même j'avais dit à Caroline que j'allais chez le gynéco, et que son visage n'avait pas montré la moindre émotion, alors qu'elle savait ce qu'il allait me faire subir." Comme vous le voyez, " dit-il, " votre fille prend très bien du cul, je pense que maintenant vous allez faire de même. "Je compris ce qu'il désirait et il me prit aux hanches pour m'aider à me retourner, malgré mes poignets toujours menottés. Je me retrouvai à quatre pattes sur la table, mon ventre et mes seins alourdis frôlant le tissu qui la recouvrait, pendant que le docteur s'agenouillait derrière moi et m'écartait les fesses. Son sexe était plus gros que le godemichet, quoique plus souple, et je subis son assaut avec quelque difficulté. Mais enfin il parvint à tout faire rentrer dans mon anus encore lubrifié, et se mit à aller et venir tout en me maintenant les reins d'une main, tandis que de sa main libre il avait repris le gode, me l'avait passé entre les cuisses et me l'enfilait dans la chatte. Attachée, à genoux, avec mes seins et mon ventre qui ballottaient sous moi en frottant contre la table, forcée devant et derrière par cet homme qui avait déjà abusé de ma fille, je ...
... pensai à mon mari, au père de mes enfants, et l'abjection de ma situation ne fit que démultiplier mon orgasme lorsqu'il éjacula dans mon cul, pendant que le godemichet expertement manié me faisait exploser par-devant. C'était la sensation la plus merveilleuse de ma vie, je hurlais, râlais, le suppliais de continuer, mes genoux se dérobèrent sous moi et je serais tombée sur le ventre s'il ne m'avait pas retenue par les hanches pour me faire repasser sur le dos.J'étais étendue sur la table, à moitié évanouie, et lui debout à côté de moi avec son sexe à peine sorti de mon cul. Je craignis qu'il ne veuille à nouveau me le faire sucer, mais il se contenta de l'essuyer en le frottant sur mon ventre et mes seins. Dans ma semi-inconscience, je sentis qu'il libérait mes mains des menottes. Je restai quelques minutes à reprendre mes esprits, esquissai un geste pour me relever de la table, et le découvris assis toujours nu dans son fauteuil, me disant avec un geste autoritaire :" Nous n'avons pas terminé. Veuillez achever de vous déshabiller. "J'enlevai ma robe entièrement défaite, et mon soutien-gorge qui ne soutenait ni ne cachait plus rien. Je fis sans conviction un geste pour ôter mes escarpins et mes bas, mais il me fit signe de les garder. Il m'ordonna de venir m'agenouiller devant lui. Les jambes flageolantes sur mes escarpins, j'obéis ; il avait réglé son fauteuil dans la position la plus basse et se tenait assis les jambes écartées, son membre à la hauteur de ma poitrine. Sur ...